PabloPicasso a déclaré : "Les bons artistes copient, mais les grands artistes volent." Le même concept peut s'appliquer à la création de votre application. Copier d'autres applications est acceptable, mais innover les fondations que votre concurrence a construites tout en faisant la vôtre et en l'améliorant est quelque chose de

Le logo des Jeux Olympiques du Japon, une copie du théâtre de Liège ? Un air de déjà vu pour le logo des JO Il y a quelques décennies, si vous demandiez à un Japonais de vous citer une personnalité belge, il vous aurait répondu sans hésiter Tintin. Il y a 20 ans, la même question aurait apporté Jean-Claude Van Damme comme réponse. En 2015, si vous posez la même, on vous répondra Olivier Debie. Olivier qui ? Attendez, laissez-moi reprendre l'histoire depuis le début, pour ceux qui n'auraient pas suivi. Le 24 juillet dernier, la Ville de Tokyo, qui accueillera les Jeux olympiques d'été de 2020, a fièrement présenté le logo officiel de cet évènement, un logo conçu par le designer nippon Kenjiro Sano, qui n'est pas un débutant dans le milieu plusieurs fois primé et reconnu, notamment dans le packaging. Alors au premier regard, autant le T et le rond rouge nous parlent immédiatement, autant on ne comprend pas vraiment d'où sort ce L. En examinant de plus près, on constate que les deux empattements sont dorés et argenté, référence à deux des trois couleurs des médailles olympiques. Soit. Puis quand on lit le communiqué de presse officiel, on tombe sur ceci La couleur noire de la colonne centrale représente la diversité, l'addition de toutes les couleurs. Le cercle représente un monde ouvert à tous où chacun accepte l'autre tel qu'il est. La couleur rouge du cercle représente le pouvoir de tous les coeurs battant à l'unisson. On nous parle de la lettre T pour Tokyo, Tomorrow et Team, d'après le même document qu'un peu après. Mais personne ne nous parle d'un L. Serait-ce notre imagination ou une hallucination collective qui nous fait voir un L là où il n'y en a pas ? Bref, un design raté pour des JO, ça peut arriver, on l'a déjà vu avec le logo des JO de Londres pour lesquels Wolff Olins avait eu un léger accident... Mais quelques heures seulement après le dévoilement de ce logo, le couperet tombe, et un internaute avisé fait remarquer sur les réseaux sociaux l'étrange ressemblance entre ce design et le logo du Théâtre de Liège, conçu en 2012 par le studio Debie, du nom de son designer Olivier Debie là vous comprenez du coup l'introduction de l'article - relisez plus haut si vous ne vous en souvenez plus. En effet, la ressemblance est assez troublante, à quelques ronds rouges près. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre sur la toile, et les médias belges et nippons s'emparent de la polémique. J'ai contacté dans la foulée Olivier Debie, qui m'a expliqué être assailli de toutes parts par des journaux des deux pays et d'autres, dont 5 chaînes de télé japonaises, Reuters, AFP, etc... Une affaire qui fait la une des médias dans un pays où l'honneur est une règle de vie dans laquelle les Japonais se sentent atteints. Comparaison entre les deux logos On attendait donc avec impatience la réponse de Kenjiro Sano, l'auteur de ce qui s'appelait déjà un plagiat. La première réaction fut des plus étonnantes, puisqu'il s'est agi de la fermeture du site de celui qui se fait appeler Mr Design le nom de son studio soi-disant "fermé pour travaux". Le doute commence sérieusement à s'installer concernant le bienfondé du designer nippon. Puis vient la réponse officielle de Sano, qui se défend de tout plagiat, bien sûr, arguant auprès des médias en expliquant sa démarche créative pas-à-pas, images à l'appui. Il serait parti de la lettre T en Didot la même typo qu'Olivier Debie a utilisée pour composer ce logo malléable pour les habillages TV, en s'inspirant du logo des JO de Tokyo de 1964 enfin là, Kenjiro-San, navré, mais ce logo fait partie des pires de l'histoire des logos de Jeux Olympiques, presque pire que Soshi 2014, c'est vous dire. Petit détour chez le logo des JO de 1964... Le logo des Jeux Olympiques de Tokyo 1964 Yusaku Kamekura - 1964 Pour l'anecdote, on dit que Yusaku Kamekura avait complètement oublié la deadline pour la livraison du logo des JO 1964 et avait alors pondu un truc en deux heures, mais il avait dû oublier son inspiration chez le dentiste ce jour-là, car il s'est contenté du cercle rouge du drapeau japonais, pour seul et unique emblème. Heureusement il s'est vite rattrapé avec ses affiches et ses pictos. Voici quelques images de son travail qui reste d'une extrême modernité 50 ans après !! Plagiat ou création Sano ? Revenons à notre histoire de Tintin... Bref, revenons à notre designer japonais qui durant son exposé a affirmé n'avoir jamais vu le logo du Théâtre de Liège qui pourtant circule beaucoup sur la toile depuis 2012 et qui surtout moi ça me chagrine ne donne toujours aucune explication sur la présence de l'empattement du bas celui qui fait qu'on voit un L sur le logo. Cerise sur le mochi, l'organisation des Jeux Olympiques de Tokyo, qui a affirmé avoir procédé au préalable à de multiples vérifications dans le monde avant de choisir et de balancer le logo de Sano, a le toupet de clamer haut et fort que le logo de Liège n'a pas été déposé. Sauf que la création, ça ne fonctionne pas comme ça... En tout cas, les médias japonais se déchaînent sur le pauvre designer, et le sujet fait tellement polémique qu'il passe en premier au journal télévisé, avant la catastrophe de Tianjin en Chine. En effet, d'après une correspondante, qui nous a livré des captures d'écran du JT, les journalistes et les internautes commencent à étudier chaque travail de Sano afin de démontrer preuve en image qu'il n'en est pas à son coup d'essai niveau plagiat. Les ressemblances sont tellement frappantes que Sano a publié un communiqué le 14 août sur son site avouant avoir "partiellement utilisé des créations conçues par des tiers". Il ajoute être "vraiment désolé d’avoir causé autant de problèmes aux personnes concernées" et avoir "conscience des graves conséquences de [ses] actes". Cela dit, dans son communiqué, il n'évoque jamais le Théâtre de Liège. Ces similitudes, m'explique un étudiant tokyoïte, ont presque toutes été trouvées et dévoilées par des internautes usagers du site 2Channel, un forum anonyme légèrement underground à l 'origine de 4chan. Ici, plus d'une centaine d'internautes passent des heures à éplucher les moindres travaux de Sano et l'ensemble des références qui pourraient s'en approcher. Un travail titanesque et mutuel qui va permettre de trouver de nombreux cas de ressemblance, y compris des utilisations d'images protégées pour faire des mock-ups, et notamment un cas encore plus embarrassant L'affiche d'une exposition de 2013 consacrée au typographe allemand Jan Tschichold, réalisée par Yoshihisa Shirai, montre un exemple encore plus flagrant. D'autant que Sano avait lui-même tweeté cette exposition après l'avoir visitée. Difficile d'ignorer la possibilité d'une grosse influence sur ce coup-là. Le sujet divise et les avis divergent. Certains studios graphiques accusent, d'autres défendent, plus ou moins bien. Un studio connu pour son Oscar a même voulu accuser l'accusation en évoquant le droit d'utiliser la typo Bodoni alors que c'est de la Didot. Bref, le sujet continue malgré sa presque fin, à alimenter les conversations dans les agences de communication. Alors, plagiat ou pas ? Superposition des deux logos Le coup de théâtre du logo des JO On vous laisse libre de juger par vous-même, sachez seulement que si le plagiat n'est pas forcément évident à démontrer concernant cette affaire, les explications de Kenjiro Sano, soutenu par le Comité Olympique Japonais, n'ont convaincu ni Olivier Debie ni le Théâtre de Liège qui ont mis le CIO à Lausanne en demeure de cesser l'utilisation du logo incriminé. Le CIO devra comparaître devant le Tribunal Civil de Liège le 22 septembre et encoure une amende de 50 000 euros. Et là encore, coup de théâtre, devant la mobilisation des internautes et le nombre d'affaires qui ressortent une pétition en ligne demandant le retrait de ce logo au Japon a même recueilli plus de 20 000 signatures en deux jours, le premier septembre, le JOC le Comité Olympique Japonais annonce qu'il renonce à l'utilisation du logo de Sano, et qu'un nouveau concours aura lieu prochainement. Cela dit Sano ne reconnait toujours pas le plagiat pour ce logo, et c'est pour cela que Olivier Debie et le Théâtre de Liège maintiennent malgré ce retrait la procédure judiciaire en cours. Suite et épilogue donc, probablement le 22 septembre. Certains graphistes n'ont pas attendu l'annonce du JOC pour proposer des alternatives au logo des jeux olympiques. Propositions de Kan Kan, Umegrafix, et Shiratori_52 image John's Graphism En attendant de trouver un logo définitif, c'est l'ancien logo de la candidature de Tokyo qui est revenu à usage dessiné par l'étudiante Ai Shimamine. Un logo partant de l'idée de la fleur de cerisier japonais assurément moins sujette à polémique ! Nous pouvons que souhaiter au Comité Olympique Japonais de pouvoir rapidement trouver un nouveau logo aussi fort que le "feu" logo de Kenjiro Sano ! Logo de la candidature de Tokyo Ai Shimamine - 2012 Une belle charte graphique à la poubelle... Jetée avec l'eau du bain, la charte graphique est presque restée inaperçue. Dommage parce qu'elle introduisait un jeu graphique qui promettait d'être extrêmement intéressant et inattendu pour ce type de sujet. Restent quelques images pour se consoler... Plagiat vs inspiration En guise de conclusion, la question du "plagiat vs inspiration" mériterait d'être vraiment posée. C'est une question philosophique, dont l'actualité ne va cesser de grandir. En effet, à une époque où tout le monde est invité à "créer" et à "partager", où les références sont mondiales, et où la tendance du design est au minimalisme, dès lors se pose la question de la pertinence de la notion d'auteur telle qu'on peut la connaitre aujourd'hui. Peut-être faut-il rappeler qu'il s'agit d'une notion qui fut évaluée très différemment selon les époques. Ainsi, avant le XVIIe / XVIIe il me semble que la "copie" était un art répandu et très honorable. Sans "copistes" l'art du maître ne pouvait se diffuser. Dès lors il n'était pas rare que les copies de tableaux fussent signées par les "copieurs" en toute lumière et que la valeur de leur œuvre avoisine celle de l'œuvre originale. C'était également une façon d'enseigner un art, à titre d'exemple on peut citer la fondation du Musée du Louvre en 1793 dont la pratique pédagogique était centrée autour de la copie des maîtres. La notion contemporaine et occidentale !! de l'auteur telle qu'on là connait aujourd'hui va donc apparaitre progressivement à partir du XVIIe pour se fixer au XVIIIe dans une forme toujours en vigueur aujourd'hui. Elle fixe l'auteur en tant qu'individu source unique d'une oeuvre d'art. C'est donc le début du règne de la subjectivité et de la solitude du génie créateur. L'art de la copie perd alors tout son attrait, et une œuvre sera évaluée par sa singularité empreinte de la personnalité "unique" de son auteur. Dès lors la notion de plagiat peut apparaitre, et surtout son pendant juridique "la contrefaçon". Le plagiat n'étant qu'une faute "morale" non condamnable en tant que telle, seul le juge peut évaluer une "contrefaçon" au regard de critères précis et mesurables ce qui laisse une bonne part de subjectivité ! . Le paradoxe c'est que si le statut "d'auteur" apparait par le simple fait de créer "une œuvre singulière" pléonasme ! , comment son créateur pourrait-il s'assurer que personne n'ai jamais conçu un travail identique auparavant ? Faudrait-il avoir connaissance tous les livres, films, musiques, peintures de l'humanité pour s'assurer de ne pas réaliser un acte de contrefaçon ? Reste que l'inspiration directe et l'emprunt ex le sampling est extrêmement répandu et revendiqué par les artistes eux-mêmes en tant que processus créatif ou esthétique. Il n'y a qu'à voir le travail de Jeff Koons le roi de l'appropriation avec l'exemple ci-dessus “String of Puppies” où il a directement utilisé une photo d'un auteur tiers pour concevoir son "œuvre" entrant en contradiction avec son propre statut d'artiste qu'il cherche à protéger par d'autres côtés ! C'est à partir de là que l'étymologie du mot "auteur" est intéressante. Le mot "auteur" vient du latin "auctor" qui signifie "celui qui pousse à agir" instigateur, créateur... . Il dérive du verbe "augeo, augere" qui signifie "faire croître, développer". Ainsi on retrouve bien deux idées antagonistes. D'un côté le "créateur individuel" et de l'autre la "création collective" où l'auteur n'est qu'un "augmenteur" au service du "bien commun". C'est exactement la question que l'on pose en préambule ! D'un côté il y aurait le plagieur qui commet un vol, et de l'autre l'emprunteur ou l'inspiré qui ne vole personne puisque la création est un bien commun immatériel ! Et après... Puisque nous sommes tous le fruit d'une culture commune, et que nos idées n'auraient jamais existé sans celles de nos pères/frères, quel droit pouvons-nous revendiquer ? La solution utopique serait probablement l'admission par la société du rôle primordial de "l'art" en tant que "bien commun", engendrant la suppression de la notion d'auteur et favorisant un cadre économique permettant l'existence de toutes formes d'art. Bon ok, on apporte par de solution magique... mais on peut rêver ! Pourtant dans notre champ d'activité qui est le design, il existe peut-être une révolution sourde le design thinking. Cela va peut-être vous sembler étonnant d'avancer cette méthodologie théorisée en Californie à la fin du XXe , mais en tant que processus créatif collectif, le design thinking efface la notion d'auteur individuel. Mais rassurez-vous il reste encore d'autres droits parallèles comme la propriété industrielle ou le droit des marques pour protéger le système ! Ps Article rédigé collectivement par Aurélien Duvallet et l'équipe de Graphéine -

Pablo Picasso Les bons artistes copient, les grands artistes [] - Pablo Picasso citation 1 Les bons artistes copient, les grands artistes volent. de Pablo Picasso Références de Pablo Picasso - Biographie de Pablo Picasso Plus sur cette citation >> Citation de Pablo Picasso (n° 58553) - Ajouter à mon carnet de citations
Tous les créateurs de contenu finissent par faire face au même problème à un moment ou à un autre la panne d’inspiration. Peu nombreux sont ceux qui peuvent se vanter de ne jamais avoir eu à faire face à ce genre de phénomène. Si cela vous ait déjà arrivé, c’est tout à fait normal. Créer du contenu chaque jour est une tâche ardue. C’est pourquoi il est parfois nécessaire d’aller chercher l’inspiration auprès de ceux qui ont réussi à trouver la formule gagnante. Dans l’article d’aujourd’hui nous allons revenir sur quelques astuces afin de vous aider à retrouver l’inspiration. Recréer ce qui fonctionne déjà Si vous avez suivi nos conseils vous avez normalement maintenant une idée assez précise de la niche dans laquelle vous évoluez, de la thématique que vous avez choisi d’aborder. Avant de vous lancer tête baissée dans la création de contenu, il est important d’effectuer un benchmark de ce qui fonctionne déjà au sein de votre niche. Pour reprendre les mots du grand Picasso lui-même “Les bons artistes copient, les grands artistes volent.” La créativité n’est pas quelque chose que l’on développe en autarcie. Une idée originale est bien souvent le fruit de la mise en relation de plusieurs autres idées. Pour créer il faut s’inspirer, et si possible s’inspirer des meilleurs. Trouver du contenu de qualité pour s’inspirer Voici plusieurs techniques afin de vous aider à amorcer les choses et recommencer à créer du contenu rapidement. Vous pouvez dans un premier temps essayer de reproduire le contenu des personnes qui vous inspirent dans votre niche. Analyser en détail les publications des créateurs de contenu que vous admirez et prenez comme exemple au quotidien. Essayez de recréer le même contenu que vos modèles en apportant votre propre touche, votre propre sensibilité, votre propre point de vue. Votre vie et votre quotidien sont très différents de ceux des créateurs les plus populaires sur la plateforme, il y a donc de fortes chances pour que votre contenu soit différent. Reproduire le contenu créé par d’autres est également un bon moyen de progresser techniquement. Pour réussir à obtenir des résultats probants, il y a de fortes chances pour que vous soyez obligés de regarder des tutoriels, de vous former à de nouvelles techniques… C’est un exercice qui vous fera progresser aussi bien sur le fond que sur la forme et vous obligera à sortir de votre zone de confort. Utiliser la page Explore d’Instagram Par définition les contenus mis en avant sur cette page sont ceux qui fonctionnent le mieux et dont les taux d’engagement sont les plus importants. N’hésitez pas à regarder le contenu suggéré par Instagram directement s’agissant des hashtags qui s’appliquent à votre niche. La plateforme en elle-même peut-être une source d’inspiration sans fin. Attention cependant à ne pas tomber dans le piège de la procrastination. Il est facile de se laisser prendre au piège et de perdre une demi-heure à scroller sous prétexte de faire des recherches pour trouver l’inspiration. Un petit conseil planifiez une à deux séances par semaine de recherches et sauvegardez le contenu qui vous plaît dans des albums afin de pouvoir le retrouver plus tard. Cela vous évitera de perdre de précieuses minutes chaque jour. Concentrez vos efforts sur une période de temps donné, passez moins de temps à chercher et plus de temps à créer. Les sites de recherche spécialisés Il existe également plusieurs sites que vous pouvez utiliser pour rechercher du contenu devenu viral dans votre niche tels que Viralfindr, Virallyze ou encore ViralCaption. Si vous avez choisi de développer des pages thématiques qui agrègent du contenu par opposition aux pages personnelles qui sont plus axées sur la création de contenu original alors ces outils vous serviront grandement. Certains de ces sites vous permettent même de télécharger le contenu en question pour le repartager sur votre page éventuellement. Attention cependant si vous commencez à faire de la curation de contenu, il est absolument nécessaire de créditer l’auteur original de la photo ou la vidéo lorsque vous la repartagez. Cela permettra notamment d’éviter que l’auteur de la publication originale ne signale votre publication ce qui enverrait un message défavorable à Instagram et à l’algorithme. Vous avez maintenant plusieurs outils à votre disposition pour retrouver l’inspiration alors ne perdez plus de temps et recommencez à créer. N’hésitez pas à partager avec nous dans les commentaires la technique qui vous inspire le plus ou encore les moyens que vous utilisez pour trouver des idées originales au quotidien. Les bons artistes copient. Les grands artistes volent. » Citée par Lady Gaga dans l'une de ses chroniques publiées dans la revue américaine
Les bons artistes copient, les grands artistes volent ». Pablo Picasso. Définitions Source : Dossier pédagogique A. Domanovic et O. Laric Copier: Imiter, reproduire en un ou plusieurs exemplaires. Pendant des siècles, du XVIIème siècle au XIXème siècle, la tradition picturale s’enrichissait de l’apport successif des grands mavtres et chaque élève apprenait en copiant et
Les bons artistes copient, les grands artistes volent. » Pablo Picasso. N’hésitez pas à reprendre des idées de la vie de tous les jours pour vous les réapproprier et les adapter dans le monde du webdesign. Autres conseils, savoir écouter les critiques constructives. Il est souvent difficile d’écouter les critiques mais pourtant c
Les bons artistes copient, les grands artistes volent" - Pablo Picasso utilisateur10832 @user568458 Je pense que ce n'est pas une copie de URW Gothic L ; Les bons artistes copient, les grands artistes volent » Pablo Picasso Le benchmark (ou étude comparative en français) consiste à analyser, intégrer et retranscrire des pratiques marketing. Les entreprises observées ne se limitent pas seulement à la concurrence. En effet, cette étude pousse à explorer les pratiques marketing d’entreprises exerçant dans d’autres secteurs d Lesbons artistes copient les grands artistes volent. Répondre. Hervé . 22 décembre 2015 à 18 h 51 min qwant est le premier à avoir utilisé le Maisun élément reste immuable : La préeminence de la créa’ dans la réussite d’une campagne. Avec ce recueil de publicités Facebook, vous comprendrez qu’il n’est pas nécessaire d’être un designer hors-pair pour lancer des publicités aux visuels sachant captiver l’attention de vos prospects. Découvrir. D4s8I2h.
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