En924, Athelsan, en accédant au trône, est devenu le tout premier roi reconnu par toute l’Angleterre. Fervent chrétien, connu pour sa compassion et
Comment Charlemagne contribue-t-il à ressusciter l'Empire d'Occident ? 1. Du roi à l'empereur 768-800 a. Un souverain légendaire En 754, Charlemagne et son frère Carloman sont sacrés en même temps que leur père Pépin le Bref. A la mort de ce dernier, en 768, Charles règne conjointement avec son frère mais ils ne s'entendent pas. Finalement, Carloman meurt prématurément et Charles réussit à étendre son autorité à l'ensemble du royaume. Bien qu'il ne sache pas lire, Charlemagne est un homme cultivé qui connaît le latin et le grec. Sa piété est sincère, il accueille les pauvres et est vêtu modestement. La légende a fait de lui l'empereur à la barbe fleurie. Son surnom, Charlemagne, vient du latin Carlus Magnus qui signifie Charles le Grand. b. Un destin impérial Charlemagne est un homme d'action, un guerrier robuste qui connaît plusieurs décennies de guerre au terme desquelles, il parvient à agrandir son royaume. Son immense domaine fait songer à l'Empire romain et des témoignages d'admiration et de respect arrivent des pays étrangers. Il réunit ainsi les conditions nécessaires à une restauration du titre impérial en Occident. En décembre 800, Charles vient à Rome pour y rétablir le pape Léon III que ses ennemis ont chassé de la ville. Le jour de Noël, alors que Charles prie dans l'église Saint-Pierre, le pape lui pose la couronne sur la tête et le peuple acclame la décision du souverain pontife haut dignitaire religieux. 2. L'oeuvre de Charlemagne a. Ses guerres et ses conquêtes territoriales En 46 ans de règne, Charlemagne a mené 53 campagnes avec comme théâtres des opérations l'Italie, l'Espagne, l'Allemagne et la frontière orientale de l'Empire. • En Italie, où il lutte entre 773 et 774, il met fin au royaume lombard et prend lui-même le titre de roi des Lombards. • En Espagne en 778, Il franchit les Pyrénées à la demande des princes musulmans en révolte contre le calife de Cordoue. Il s'empare de plusieurs places comme Barcelone, mais échoue devant Saragosse. Il bat en retraite et lors du franchissement du col de Roncevaux, les Basques détruisent l'arrière garde de son armée et tuent le duc de Bretagne, Roland, qui devient héros d'une fameuse Chanson qui porte son nom. • En Saxe, est livrée la plus longue et la plus coûteuse des guerres de Charlemagne. Les Saxons derrière leur chef Wilikind ravagent la rive droite du Rhin jusqu'à Coblence et massacrent l'armée franque en 782. La revanche de Charlemagne est terrible, il fait massacrer de nombreux Saxons, puis les fait déporter et remplacer par des colons francs pour maintenir la paix. • Enfin, en Germanie, Charlemagne lutte sur deux fronts au Nord, il parvient à dompter les Saxons et au Sud, il met fin à l'autonomie de la Bavière. Ces différentes conquêtes territoriales, mettent l'empire en contact avec des peuples comme les Danois, les Avars ou les Slaves. Et, pour défendre ses frontières sans cesse menacées, Charlemagne fonde des territoires militaires appelés marches que gouvernent des margraves ou marquis. b. La construction du palais d'Aix la Chapelle Charlemagne rompt avec l'usage mérovingien de la cour itinérante se déplaçant de palais en palais à dos d'animaux et opte pour une capitale impériale. Son choix se porte sur Aix-la-Chapelle en raison de sa situation géographique au coeur des possessions carolingiennes, en Austrasie, et surtout en raison de sa proximité avec les territoires orientaux nouvellement conquis. Il y fait donc construire à la fin du VIIIe, un immense palais qu'il dote d'une chapelle privée et qui devient sa résidence impériale dès 800 ans. Charlemagne y meurt en 814 en empereur chrétien après avoir distribué ses biens aux pauvres et aux églises. Il est inhumé dans la chapelle du Palais, chapelle qui symbolise le caractère religieux du pouvoir impérial et qui témoigne encore aujourd'hui de la renaissance carolingienne en matière d'art et d'architecture. L'essentiel Charlemagne est un roi lettré et pieux mais c'est aussi un homme de guerre qui agrandit considérablement le royaume dont il a hérité en luttant contre différents peuples du Nord Scandinaves, de l'Est Avars et Slaves et du Sud Lombards. Ce royaume agrandi rappelle l'Empire romain d'Occident que le sacre de Charlemagne, en 800, finit par ressusciter. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours ! Età cette époque le territoire gallo-romain, et partagé entre 3 peuples qui se sont installé, il va y avoir les Wisigoths (le sud-ouest), vers le sud-est il y a les Burgondes et au nord on a un jeune royaume qui est le royaume des francs, et ces peuples se sont installés peu à peu avec des invasions et on parle Lorsque François Ier monte sur le trône de France au printemps 1515, il est encore considéré comme un seigneur féodal mais il est le souverain au-dessus de tous les seigneurs du royaume. Il bénéficie du long travail des juristes de l'entourage royal depuis le XIIIe siècle, qui ont réinterprété le droit romain pour mieux définir la notion de souveraineté et de monarchie. Depuis le règne de Saint Louis, les légistes affirment que le roi est empereur en son royaume » ou que le roi est souverain par-dessus tous ».Au début du XVIe siècle, nombreuses sont les publications d'ouvrages juridiques qui tentent de définir les pouvoirs du progression vers l'absolutismeLe juriste Claude de Seyssel explique dans son œuvre La Grande Monarchie de France, parue en 1519, que la monarchie française est réglée par trois grands principes qui l'empêchent de dégénérer en tyrannie la foi chrétienne, la justice et la police. Trois contre-pouvoirs en quelque sorte l'Église, les parlements et l'administration du royaume, qui fonctionnent comme des freins à la puissance absolue du Budé grand juriste et fondateur du futur Collège de France établit une définition de l'autorité royale absolue, dans son Institution du Prince, parue en 1547. Il souligne que le roi est le seul à pouvoir déterminer la nature de son gouvernement, qu'il n'est pas sujet aux lois du royaume ; il tient son autorité de Dieu et non des hommes. Grâce aux juristes, l'absolutisme royal prend forme mais la notion de personne sacrée du roi existe déjà au moment du sacre, par son union avec gouvernement royalPour faire admettre son autorité de souverain sur l'ensemble du royaume, François Ierest un roi législateur qui multiplie les actes édits, ordonnances..., innove en matière d'institutions et lance de nombreuses les quelque actes législatifs du monarque, l'ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 est demeurée la plus célèbre composée de 192 articles, elle exige la rédaction de tous les actes administratifs en langue française et généralise la tenue des registres paroissiaux. Cette grande ordonnance concerne tous les domaines et veut unifier les procédures mises en place par le pouvoir fonctionnement du gouvernement est basé sur l'existence d'un Conseil étroit, réuni presque quotidiennement autour du roi, composé de membres de la haute noblesse et capable de s'adapter aux nombreux déplacements du souverain. Il traite avant tout des affaires militaires et diplomatiques, pendant qu'un Conseil privé siège en permanence à Paris pour gérer les affaires dites toujours le souverain qui décide en dernier ressort, après avoir consulté les représentants de la société politique ». En plus de la haute noblesse, François Ier sait s'entourer de conseillers spécialistes qui annoncent déjà le développement d'une administration d' roi s’assure le contrôle de l’Église de FranceL'accord conclu entre François Ier et le pape Léon X, par le concordat de Bologne de 1516, va devenir un instrument déterminant du renforcement de l'autorité royale. Le monarque obtient le droit de nomination de toutes les charges ecclésiastiques du royaume archevêchés, évêchés, abbayes et prieurés. Il dispose du pouvoir temporel sur l'Église de France c'est ce que l'on appelle le gallicanisme, le pape conservant le pouvoir spirituel. Le concordat prévoit le prélèvement d'un impôt les décimes » sur les revenus du clergé, qui est reversé dans les caisses du Trésor royal. De plus, le roi peut soumettre et fidéliser la noblesse en lui offrant des charges ecclésiastiques prestigieuses et lucratives contre services rendus, militaires ou politiques. Les réformes engagées par François IerL'importance des réformes financières engagées par le souverain s'explique par les dépenses croissantes de la monarchie, notamment en période de guerres. Les impôts dont la taille créée en 1439 sont devenus permanents et nécessitent la mise en place d'institutions centralisées. Le Trésor de l'Épargne est créé en 1523, tous les revenus y sont désormais recette des finances extraordinaires est créée en 1524 le personnel spécialisé se met en place avec des offices de contrôleurs, receveurs et comptables. Seize recettes générales sont créées en 1542, répondant à un cadre géographique déterminé ; elles seront vingt-trois sous Louis XIV puis trente-deux en 1789. Elles sont dirigées par le Conseil du roi et contrôlées par la Chambre des comptes. L'ancêtre du Trésor public est né !À côté des réformes financières, François Ier entreprend des réformes de justice en 1520 est créée la maréchaussée ancêtre de la gendarmerie représentant l'autorité royale sur l'ensemble du territoire, destinée à sécuriser les grands chemins du royaume et à juger les malfaiteurs. De nouveaux offices de justice sont créés, permettant d'accroître les capacités judiciaires des parlements qui sont des organes de justice.La création des offices au service de la monarchieFrançois Ier a véritablement consolidé le système des offices en instaurant leur vénalité. L'office est une délégation de service public par l'autorité royale c'est une fonction administrative permanente à laquelle sont attachés des revenus et des privilèges pouvant aller jusqu'à l'anoblissement. La multiplication et la vente d'offices en deux vagues 1522-1523 et 1542-1547 permet au roi d'approvisionner les caisses de l'État, de renforcer le contrôle du territoire par la création d'institutions de justice, de police, de finances..., d'assurer la promotion sociale des notables urbains et d'en faire des serviteurs du roi. Les offices peuvent être comparés à une fonction publique d'Ancien Régime, pour le plus grand bien de la monarchie en marche vers l'absolutisme. Cependant cet ensemble de transformations décisives sous François Ier, ne doit pas masquer les obstacles auxquels l'appareil d'État naissant et le souverain sont confrontés le territoire du royaume constitue un espace immense qui se parcourt très lentement. L'application des ordres et leur contrôle par les agents royaux est toujours en décalage avec la loi du roi. Les institutions de l'État sont encore au XVIe siècle, des institutions parmi tant d'autres locales mais le roi a l'avantage de pouvoir les dominer si besoin est, par l'usage de la force armée. LEmpereur-Mage (魔法帝, Mahotei) est le titre donné au plus puissant Chevalier-Mage du Royaume de Clover. Le détenteur de ce titre dirige aussi l'Ordre des Chevaliers-Mages. Ce titre est actuellement détenu par Julius Novachrono. Le titre d'Empereur-Mage était originellement donné à titre honorifique à un mage qui avait défendu l'humanité contre un démon. Avec le 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 8mHeKPqZh64OfDQKiERfFblfEwBIaE08IGxSbyGxOi39GLm75WKb3A== En768, Charlemagne succède à Pépin le Bref. Il s’agit d’un grand conquérant : il réussit à agrandir son royaume grâce à des conquêtes, notamment vers l’est et le nord de l’Italie.. Cette expansion du royaume franc étend le christianisme à travers l’Europe. Pour le remercier, le pape le couronne empereur en 800. Cette réaction n’avait pas attendu le coup d’éclat de la diète de Roncaglia et s’inscrire dans le sillage extrêmement glorieux du grand et vieil empereur Charlemagne dont l’empereur d’Allemagne se réclamait aussi De fait depuis la fin du XIème siècle, pour soutenir la revendication française à l’auctoritas un mouvement était né qui prétendait rattacher le royaume de France à Charlemagne. Mouvement qui pouvait permettre à la dynastie capétienne de revendiquer aussi l’auctoritas impériale. On retrouve l’abbé Suger. C’est ainsi qu’à la fin du XIIème, ceux que l’on appelle les dionysiens moines de l’abbaye de Saint Denis vont fabriquer une histoire de Charlemagne et de son neveu Rolland, attribuée d’ailleurs à son compagnon légendaire l’archevêque Turpin. Cette histoire va prendre le nom de pseudo Turpin c’est un faux. Ce pseudo Turpin a été traduit, remanié, embelli par les moines au point que ce texte va finir par devenir la seule référence, la seule véritable histoire de Charlemagne qui, dit le texte, a donné la France à monseigneur Saint-Denis ». Pour parachever cette habile construction, qui avait pour but de rattacher la dynastie capétienne à la dynastie carolingienne Huges Capet avait usurpé la royauté. Pour parachever ce montage, les moines vont fabriquer un faux diplôme de donation de Charlemagne à l’abbaye de Saint Denis. Dans cette donation pseudo-donation l’empereur Charlemagne dit tenir son royaume de Dieu par l’intermédiaire de Saint-Denis et de Dieu et de toi Saint-Denis je tiens le Royaume de France ». Ce qui signifie au bas mot, allons à l’essentiel sur les recherches les plus récentes en fait, que Charlemagne empereur est devenu le parton de la France, du Royaume de France que le Roi de France tient son Royaume de Dieu par l’intermédiaire de Saint-Denis. Et c’est donc ainsi que les moines dont on a dit que Saint Denis était l’atelier de Vulcain, les moines ont très certainement sous l’influence des conseillers du Roi de France, ont donné Les biographes de Philippe Auguste à qui ils ont conféré ces titres rappelle l’Auguste de l’empire romain vont mettre en avant ce règne extrêmement long qui a duré 43 années. C’est celui de l’essor extrêmement rapide d’un pouvoir. Les progrès étaient considérés dans une optique à la fois chrétienne, nationale et impériale. Les légistes du roi de France mais aussi les canonistes utilisent tout ce qui leur semble bon. La notion de propagande n’est pas quelque chose de récent. C’est surtout dans la souveraineté royale en plein développement que les légistes puisent des éléments autrement plus convaincants pour étayer leur doctrine. Leur doctrine c’est de dire qu’au fond le roi de France est égal à l’empereur d’Allemagne. Il reprenne dan le droit féodal le roi ne doit tenir de personne. » Le roi ne tient de personne ni à l’intérieur du royaume, ni à l’extérieur du royaume. Par conséquent il ne dépend pas non plus de l’empereur. L’argument féodal était un petit peu léger. Les légistes vont puiser dans le droit romain tout l’arsenal nécessaire à la royauté française. Ils le font à un moment où ils affirment précisément que le roi de France ne saurait et ne pourrait relever d’aucune puissance temporelle. La preuve de cette insertion est dans l’imperium qui est à Rome -> tous les pouvoirs, le pouvoir le plus puissant L’empereur avait cet imperium car c’était la loi qui le lui avait donné. Les légistes français ont affirmé qu’étant donné que la raison d’être de la juridiction royale est l’utilité publique, elle est donc de la même qualité que la juridiction de l’empereur. Il y a identité de juridiction alors celle-ci attribue forcément au roi de France un pouvoir de subsistance, de nature identique à celui de l’empereur. Il est le princeps premier d’entre tous, mot qui a donné le mot prince. Jean Blanot a inventé une formule le roi de France est princeps en son royaume. » Cette maxime veut dire que le pouvoir du roi de France fait échec à la prétendue autorité universelle de l’empereur. Ce dernier qui d’ailleurs commence à avoir de sérieux problèmes dans son empire doit considérer le roi capétien comme une puissance concurrente avec laquelle il doit désormais compter. A la fin du XIIIème siècle un autre légiste, Guillaume Plaisans va mettre à profit la faiblesse politique, crise politique que traverse l’empire allemand crise sévère car il n’y avait plus d’empereur le roi de France est empereur en son royaume ». L’autorité impériale est transportée sur le roi de France qui dans son royaume, se considère comme un empereur. Ce qui veut dire qu’à ce titre il jouit des mêmes prérogatives que celles dévolues à l’empereur et en particulier il jouit de la même auctoritas. Pour exprimer juridiquement son pouvoir souverain il utilise le droit romain, c’est à partir de ce moment là que sera forgée cette formule des ordonnances royales tel est notre bon plaisir » au XVème et XVIème siècles. Cette formule est reprise et arrangée à la sauce royale française de celle du jurisconsulte Ulpien. Cette formule latine quod principi placuit legis habet vigoren » Ce qui plait au prince a force de loi ». Cela ne signifie pas que le roi puisse faire n’importe quoi. C’est le sens à donner à ce qu’il plait Quod principi placuit legis habet vigorem. Ce qui plaît au prince a force de loi. Lien ave tel est Nôtre bon plaisir ». Origine du mot placet une requête. On peut dire qu’une opinion a l’air plus plaisant qu’une autre. Sens à donner ce qui plait. Il n’y a pas un caractère tyrannique. Peut être un peu arbitraire. On peut ajouter, est-ce que le plaisir est toujours plaisant ? Ne veut dire en aucun cas d’une affirmation d’un pouvoir absolu cela serait un énorme contresens. Pas conséquence le fameux quod placuit auquel se référeront tous les rois de France, et encore plus au XVIIème, ce quod placuit est ce que le Prince estime être bon non pas pour lui, mais pour la communauté politique dont il a la charge. C’est ce bien qu’il doit chercher dans son gouvernement au nom de ce qu’on appelle le commun profit. Pour autant cette indépendance que les circonstances de l’empire d’Allemagne a favorisé empereur d’Allemagne de plus en plus faible, se délite en mille morceaux… De plus comme l’empereur est élu, il y a des crises politiques à chaque mort de l’empereur n’était qu’une des expressions de la souveraineté, parce que fin XIIIème et début XIVème il fallu aux capétiens se garder des prétentions à la domination du monde exprimées par le pape, le pontifex maximus. Le danger était grand. Car une chose est de s’attaquer à l’empereur d’Allemagne, une autre est de s’attaquer au pontifex maximus. Car à cette époque, le pape est le chef de la chrétienté occidentale. Il est impératif à partir de 1054 de distinguer la chrétienté en occident et la chrétienté en orient, puisque 1054 est l’année d’un schisme terme exclusivement régulier séparation absolue et totale qui a donc divisé les chrétiens entre ceux que l’on appelle les chrétiens orthodoxes othodoxos celui qui suit la droite ligne qui ne reconnaissent pas l’autorité du pape et les chrétiens d’occident qu’on appelle catholique catholiquos universel. Par conséquent, à partir de 1054 il y a une scission toujours actuelle entre les chrétiens orthodoxes qui considèrent qu’ils sont les seuls à suivre la droite ligne des origines, et les chrétiens qui se sont installés en occident et qui ont une prétention à l’universalité, et qui reconnaissent l’autorité du pape, le pontifex maximus, le successeur de Pierre. Evidemment, s’attaquer au pape quand on Roi de France et qu’on tient son pouvoir de Dieu, il faut avoir des épaules. C’est ce qui va se passer.. Notez cet article Lamaxime « le roi de France est empereur en son royaume », datant du XIII° siècle illustre parfaitement l'affirmation de la souveraineté royale à cette période de l'histoire. On voit en effet, l'indépendance du royaume face en premier lieu à l'Empire Germanique, puis en second lieu, face à la Papauté.Chapitre 1 du royaume capétien à l’état royale Section 1 le roi est empereur en son royaume , affirmation de la souveraineté vis-à-vis de l’étranger Paragraphe 1 l’indépendance du roi Au 13 -ème siècle le roi de France utilise La formule du texte le roi est empereur dans son royaumemontrer que le roi devient autonome par rapport au pape et au l’empereur germanique . A La prétention du roi vis-à-vis de l’empereur germanique Au 10 -ème siècle l’empire carolingien est ressusciter par Otton 1 er , devient empereur en 962 danslequel il souhaite reprendre la succession de ces ancêtres et affirme avoir des pouvoir supérieure par rapport aux autres rois . Il a pour vocation de dominer l’Europe car il est le prolongement de l’empire romain et donc que les rois sont ces subordonner . Les légistes affirment que l’empereur est le maitre du monde qui est contenus dans les compilations justiniennes . Ils affirment qu’il possède les différents pouvoirs = de l’octoritas = autorité morale , l’potestas = pv administrations et la disposition de l’imperium = pv de commandement militaire l'unus imperatore in orbe= il est le roi du monde et que les autres rois doivent lui obéir , face à cela le roi de France va devoir affirmer son indépendance B Indépendance affirmer du royaume capétien Le roi sort d’une période difficile mis à mal par le prince et vassaux , qu’il doit affronter l’empereur pour affirmer l’indépendance du royaume capétien . Il fait comme l’empereur et réuni des légistes de droits romain . Ils vont défendre la thèse du royaume capétien = roi de France et un égal avec l’empereur car il à une dignité royale qui égale à l’empereur et que le royaume capétien peut être indépendant face à l’empire . Des le 12 -ème siècle les juristes affirment que le roi de France peut revendiquer les mêmes prérogatives que l’empereur .Pour affirmer cela au 13 -ème siècle les juristes se fond sur une bulle papale prise en 1202 = qui affirme que le roi de France n’a aucun supérieur au regard du pouvoir temporelle . Plus tard elle va être démontré par Philipe 2 Auguste . Il faudra attendre 1260 pour que jean de blanot qui formule un argument choque = le roi de France est empereur en son royaume . Dix ans plus tard on a une formule complémentaire = le roi ne doit tenir de personnes = sans aucun sup sur le plan temporel . Cette opposition va engendrer une bataille en 1204 à bouvine = Otton 4 vs Phillipe 2 auguste Il réussit à réunir tous les princes du royaume = signe de sa nouvelle autorité .