Quelquescitations de La BruyĂšre : " Toute rĂ©vĂ©lation d'un secret est la faute de celui qui l'a confiĂ©. ". "Toute confiance est dangereuse si elle n'est pas entiĂšre. ". "Les hommes n'aiment point Ă  vous admirer, ils veulent plaire. ". "Qui ne sait rien croit enseigner aux autres ce qu'il vient d'apprendre lui-mĂȘme. ".
Certains articles de MĂ©diapart, et souvent leurs commentaires, suggĂšrent que leurs auteurs exagĂšrent leurs malheurs ou ceux du monde. Quelques rappels s'imposent"Quand un malheur vous arrive, songez aussitĂŽt aux ressources." proverbe ancien"Le bonheur est nĂ© de l'altruisme et le malheur de l'Ă©goĂŻsme." Bouddha. Le titre de Bouddha terme sanskrit à€Źà„à€Šà„à€§ buddha "Ă©veillĂ©, participe passĂ© passif de la racine verbale budh-, "s'Ă©veiller", dĂ©signe une personne ayant, notamment par sa sagesse, rĂ©alisĂ© l'Ă©veil. Il peut ĂȘtre dĂ©signĂ© par d'autres qualificatifs "Bienheureux", "Celui qui a vaincu", "Ainsi-Venu""Les malheureux se consolent en voyant plus malheureux qu'eux." Ésope, 7Ăšme et 6Ăšme siĂšcles avant JC"C'est le malheur qui met en pleine lumiĂšre la vĂ©ritable amitiĂ©, et la vertu se fait aimer, toujours, par son seul prestige." / "L'attente du malheur est plus dure Ă  supporter que le malheur lui-mĂȘme." / "De l'excĂšs du malheur peuvent naĂźtre d'Ă©tonnants changements de fortune." Euripide, en grec ancien ΕᜐρÎčÏ€ÎŻÎŽÎ·/ EuripĂ­dĂȘs, nĂ© Ă  Salamine vers 480 et mort en MacĂ©doine en 406, fut un des trois grands tragiques de l'AthĂšnes classique, avec Eschyle et Sophocle"Le tort commun des malheureux est de ne jamais vouloir croire Ă  ce qui leur est favorable." SĂ©nĂšque, -2/65"Notre malheur est que nous vivons avec des gens qui pensent que Dieu n'a guidĂ© personne d'autre qu'eux." Avicenne. Abu Ali al-Husayn Ibn Abd Allah Ibn Sina, ou Ibn SÄ«nā, dit Avicenne en persan et arabe Ű§ŰšÙ† ŰłÛŒÙ†Ű§, nĂ© le 7 aoĂ»t 980 Ă  AfshĂ©na, prĂšs de Boukhara, dans la province de Transoxiane actuel OuzbĂ©kistan et mort en juin 1037 Ă  Hamadan Iran, fut mĂ©decin et philosophe de religion musulmane"Presque tous les malheurs de la vie viennent des fausses idĂ©es que nous avons sur ce qui nous arrive. Se connaĂźtre soi-mĂȘme et les autres, juger sainement les Ă©vĂ©nements de la vie, est donc un grand pas vers le bonheur." d'aprĂšs Blaise Pascal. nĂ© le 19 juin 1623 Ă  Clermont aujourd'hui Clermont-Ferrand en Auvergne et mort le 19 aoĂ»t 1662 Ă  Paris, fut mathĂ©maticien, physicien, inventeur, philosophe, et thĂ©ologien catholique"La douleur qui se tait n’en est que plus funeste." Jean Racine, nĂ© le 21 dĂ©cembre 1639 Ă  La FertĂ©-Milon, et mort Ă  Paris le 21 avril 1699"On confie aisĂ©ment des malheurs qu'on surmonte. Mais qu'il est accablant de parler de sa honte!" Voltaire. François-Marie Arouet, dit Voltaire, nĂ© le 21 novembre 1694 Ă  Paris et mort dans la mĂȘme ville le 30 mai 1778, fut Ă©crivain, reprĂ©sentant parmi les plus connus de la philosophie des lumiĂšres"C'est un affreux malheur de n'ĂȘtre pas aimĂ© quand on aime; mais c'en est un bien grand d'ĂȘtre aimĂ© avec passion quand on n'aime plus." Benjamin Constant de Rebecque, nĂ© Ă  Lausanne le 25 octobre 1767 et mort Ă  Paris le 8 dĂ©cembre 1830, fut romancier et homme politique"Malheur a celui qui s'est tu parce qu'il croyait parler dans le dĂ©sert." / "Le malheur fait dans certaines Ăąmes un vaste dĂ©sert oĂč retentit la voix de Dieu." HonorĂ© de Balzac, La femme abandonnĂ©e, 1833"En gĂ©nĂ©ral, dans tout malheur du prochain il y a toujours quelque chose qui rĂ©jouit l'Ɠil d'un tiers, quel qu'il soit." / "L'homme est malheureux parce qu'il ne sait pas qu'il est heureux; uniquement Ă  cause de cela. Celui qui s'en rend compte devient heureux immĂ©diatement." les dĂ©mons, Fiodor MikhaĂŻlovitch DostoĂŻevski en russe Đ€Ń‘ĐŽĐŸŃ€ МохаĐčĐ»ĐŸĐČоч Đ”ĐŸŃŃ‚ĐŸĐ”ĐČсĐșĐžĐč fut un Ă©crivain, nĂ© Ă  Moscou le 30 octobre 1821 et mort Ă  Saint-Petersbourg le 28 janvier 1881"Malheur Ă  celui sur lequel se referme la porte d'une prison et qui n'a point de vie intĂ©rieure, qui ne saura s'en crĂ©er!" Jean Zay, 1900-44, ministre français, hĂ©ros de guerre, victime de la mĂ©chancetĂ© humaine"Ne pas prendre conscience de son malheur pour en apprĂ©cier ensuite le bonheur voilĂ  pour moi le malheur suprĂȘme." VĂ©ronique Martinez, danseuse ou souffrances sont citĂ©es ici
Ils’adresse aux hommes (au pluriel) et se termine par : « Heureux tous ceux qui se confient en lui. » Le Psaume 1, que nous allons Ă©tudier, prĂ©sente deux chemins avec deux issues : celui du juste ou du pĂ©cheur acceptant la grĂące et celui du mĂ©chant ou du pĂ©cheur rejetant la grĂące. Le bonheur selon les humains
BismiLLehi ar-RahmĂąni ar-RahĂźm AllĂąh – Ta’ñla – dit Et quand un malheur touche l’homme, il appelle son Seigneur en se tournant vers Lui. Puis quand Il lui accorde de Sa part un bienfait, il oublie la raison pour laquelle il faisait appel, et il assigne Ă  AllĂąh des Ă©gaux, afin d’égarer les gens de Son chemin. Dis Jouis de ta mĂ©crĂ©ance un court moment. Tu fais partie des gens du Feu ». » [1] Ainsi, AllĂąh – Ta’ñla – explique dans Son Livre que les polythĂ©istes combattus par le ProphĂšte sallallahu alayhi wa salam L’imploraient simultanĂ©ment avec d’autres quand ils jouissaient de la prospĂ©ritĂ©, mais dans le malheur et la difficultĂ©, ils n’imploraient que Lui Seul, sans rien Lui associer, et en oubliant leurs maĂźtres. Quiconque saisit bien cette remarque, pourra distinguer clairement la diffĂ©rence entre l’associationnisme de nos contemporains, et celui des anciens. HĂ©las ! C’est une chose rare que de trouver des esprits qui saisissent cette remarque de façon profonde. Qu’AllĂąh nous assiste ! [2] Celui-ci montre que l’homme touchĂ© par le malheur fait recours Ă  son Seigneur en toute humilitĂ© pour dissiper ses peines et mettre un terme Ă  ses tourments. Mais dĂšs qu’AllĂąh lui accorde des faveurs de Sa part, il oublie vite son Ă©tat de dĂ©votion tout rĂ©cent en attribuant Ă  AllĂąh des Ă©gaux, encourageant l’égarement loin du sentier d’AllĂąh. Ce qui confirme que les polythĂ©istes versaient dans l’associationnisme quand ils jouissaient de la prospĂ©ritĂ© et rendaient un culte exclusif Ă  AllĂąh dans les situations de difficultĂ©s. [3] Ilse dĂ©roule trois jours aprĂšs la premiĂšre dĂ©couverte, Ă  proximitĂ© d’un autre cours d’eau : l’Eure. Dans une poubelle qui jouxte la riviĂšre, un
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois espagnol Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche Traduction - dopĂ©e Ă  l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu rĂ©cupĂ©rer les informations. Nous travaillons pour rĂ©soudre ce problĂšme au plus vite. Traduction de voix et de textes plus longs La Terre, que le CrĂ©ateur a confiĂ©e Ă  l'homme, doit ĂȘtre en mesure d'abriter sa vie et de constituer un digne foyer pour la sociĂ©tĂ© humaine tout entiĂšre. La tierra que el Creador entregĂł al hombre en custodia debe ser un lugar donde se pueda vivir, una morada digna para toda la sociedad humana. La vĂ©ritĂ© que Dieu a confiĂ©e Ă  l'homme sur lui-mĂȘme et sur sa vie s'inscrit donc dans le temps et dans l'histoire. La verdad que Dios ha comunicado al hombre sobre sĂ­ mismo y sobre su vida se inserta, pues, en el tiempo y en la historia. C'est la tĂąche que Dieu a confiĂ©e Ă  l'homme en le crĂ©ant Ă  son image et Ă  sa ressemblance, une tĂąche qui remplit chaque homme de la plus grande dignitĂ©, mais Ă©galement d'une immense responsabilitĂ©. Es la tarea que Dios encomendĂł al hombre al crearlo a su imagen y semejanza, una tarea que confiere al hombre la mayor dignidad, pero tambiĂ©n una inmensa responsabilidad. Dieu a confiĂ© Ă  l'homme la connaissance nĂ©cessaire au salut. Les Saintes Écritures constituent la rĂ©vĂ©lation infaillible de sa volontĂ© ». Las Sagradas Escrituras, que comprenden el Antiguo y Nuevo Testamentos, son el registro vivo de la voz de Dios. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 857615. Exacts 3. Temps Ă©coulĂ© 366 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200
Jérémey17:5" Maudis soit celui qui se confie dans l'homme, et qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son coeur de l'Eternel." En ce bas-monde, rien n'est éternel, tout s'abime, se rouille. Meme notre notre propre corps vieillit, et un jour notre corps meurt. La jeunesse éternelle n'existe pas.
L’homme maĂźtre de l’homme L’HISTOIRE confirme la vĂ©racitĂ© d’EcclĂ©siaste 89, qui dĂ©clare “ L’homme a dominĂ© l’homme Ă  son dĂ©triment. ” Ou selon les termes de la Bible de JĂ©rusalem, une version catholique, “ l’homme est maĂźtre de l’homme, pour son malheur ”. Des millions de personnes ont Ă©tĂ© victimes d’injustices, et il en a Ă©tĂ© ainsi sous presque tous les rĂ©gimes politiques que l’homme a expĂ©rimentĂ©s. Cette souffrance a Ă©tĂ© rappelĂ©e dans un discours prononcĂ© par le sous-secrĂ©taire aux Affaires indiennes, du ministĂšre amĂ©ricain de l’IntĂ©rieur, lors du 175e anniversaire de la crĂ©ation du Bureau des affaires indiennes. Il a dĂ©clarĂ© qu’il ne s’agissait pas d’une fĂȘte, mais d’“ une occasion de parler de tristes vĂ©ritĂ©s, une occasion de se repentir ”. Il a admis que la principale mission de cette institution, dans les annĂ©es 1830, Ă©tait de chasser de leurs terres les tribus du sud-est les Cherokees, les Creeks, les Choctaws, les Chickasaws et les SĂ©minoles. “ Par la menace, la tromperie et la force, ces grandes tribus ont Ă©tĂ© contraintes Ă  effectuer une marche de 1 600 kilomĂštres en direction de l’ouest, en abandonnant des milliers de leurs vieillards, de leurs enfants et de leurs infirmes dans des tombes creusĂ©es Ă  la hĂąte le long de la Piste des larmes. ” Il a poursuivi “ À notre Ă©poque plus Ă©clairĂ©e, il faut cependant reconnaĂźtre que la propagation volontaire de maladies, l’extermination des troupeaux de bisons, le recours Ă  l’alcool pour empoisonner l’esprit et le corps, et le massacre lĂąche de femmes et d’enfants ont abouti Ă  une tragĂ©die si Ă©pouvantable qu’on ne peut simplement la considĂ©rer comme la consĂ©quence inĂ©vitable du choc de modes de vie rivaux*. ” Il a avouĂ© “ Ce bureau cherchait Ă  supprimer tout ce qui avait trait aux Indiens. Ce bureau interdisait de parler les langues indiennes [...] et il voulait que les Indiens aient honte de ce qu’ils Ă©taient. Le pire, c’est que le Bureau des affaires indiennes commettait ces actes Ă  l’encontre des enfants qui Ă©taient confiĂ©s Ă  ses pensionnats ; il les brutalisait affectivement, psychologiquement, physiquement et spirituellement. ” Il a conclu par ces mots “ Commençons par exprimer notre profond chagrin pour ce que cet organisme a fait par le passĂ©. [...] Jamais plus nous ne participerons au vol des biens des Indiens. [...] Jamais plus nous ne nous en prendrons Ă  vos religions, Ă  vos langues, Ă  vos rites ou Ă  la moindre de vos coutumes tribales. ” Il a ajoutĂ© enfin “ Ensemble, nous devons essuyer les larmes de sept gĂ©nĂ©rations. Ensemble, nous devons panser nos cƓurs brisĂ©s. ” — Vital Speeches of the Day, 1er octobre 2000. L’unique solution vĂ©ritable et durable Ă  la cruautĂ© de l’homme envers l’homme est le Royaume de Dieu, qui rĂ©tablira la justice pour tous et qui “ essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu ”. — RĂ©vĂ©lation 213, 4. [Note] L’histoire des Indiens d’AmĂ©rique dĂ©montre que les tribus Ă©taient souvent en conflit ; les querelles “ pour des territoires, des chevaux et des bisons Ă©taient constantes ”. — Les Apaches angl.. [CrĂ©dits photographiques, page 31] Indien d’aprĂšs une photo d’Edward S. Curtis ; carte Mountain High Maps Copyright © 1997 Digital Wisdom, Inc. ; tentes indiennes Leslie’s
Lesamedi dernier, un enfant a échappé de justesse à une noyade. AprÚs une chute dans la lagune au niveau de la gare lagunaire de Treichville, il fallut la bravoure d'un jeune bénévole surnommé "Rougeo" pour mettre hors de danger la vie de l'enfant. Alors que des badauds assistaient avec impuissance aux malheurs de l'enfant, Konaté Yaya dit
Pendant que JĂ©sus Ă©tait Ă  JĂ©rusalem, Ă  la fĂȘte de PĂąque, plusieurs crurent en son nom, voyant les miracles qu’il faisait. Mais JĂ©sus ne se fiait point Ă  eux, parce qu’il les connaissait tous, et qu’il n’avait pas besoin que quelqu’un rende tĂ©moignage de l’homme; car lui-mĂȘme connaissait ce qui Ă©tait dans l’homme. Jean 2/23 Ă  25 JĂ©sus ne peut pas ĂȘtre déçu de toi, de tes Ă©checs, ou de ta sanctification dĂ©faillante. Non seulement Il n’est pas déçu, mais Il n’est mĂȘme pas surpris. Cette vision d’un Dieu déçu par les dĂ©faillances des hommes est religieuse [1], enfermĂ©e dans les limites Ă©troites de la comprĂ©hension humaine [2]. Toi, tu es déçu de toi-mĂȘme et tu en es affligĂ©. Mais Lui, Il connaĂźt ce qui est dans l’homme, et mĂȘme ce qui est dans l’homme qui croit en lui. Il ne se fait aucune illusion sur l’homme et sur son potentiel Ă  Le suivre, ĂȘtre fidĂšle, rester pur, Ă  triompher, Ă  ĂȘtre vainqueur [3]. Non parce que l’homme est mauvais, mais parce que l’homme est mĂ» par une Ă©nergie qui est vendue au pĂ©chĂ© [4], victime d’un cƓur trompeur[5]. Prenez par exemple le disciple Pierre il Ă©tait parmi les plus motivĂ© et les plus prometteurs. Il avait mĂȘme tout quittĂ© pour suivre son appel et ce JĂ©sus de Nazareth avait envahi tout son horizon. À son contact, avec Lui, tout devenait possible. Et JĂ©sus lui avait donnĂ© Son enseignement, investi en lui, confiĂ© des responsabilitĂ©s [6], transmis son mandat et dĂ©lĂ©guĂ© de Son autoritĂ© [7], mais Il savait bien, Lui, que tout cela avait des limites. Les limites de l’homme. Parce que JĂ©sus ne se fie pas Ă  l’homme, il ne s’est jamais fiĂ© Ă  l’homme. Mais l’homme en revanche se fie en lui-mĂȘme et en ses propres forces. Pierre, lui, ignorait les limites de l’homme, persuadĂ© dans son for intĂ©rieur qu’il suivrait son Seigneur partout, jusque dans la mort, jusque dans la perte de ce qui lui Ă©tait le plus cher, le plus prĂ©cieux 
 mais c’était mal connaĂźtre l’homme qui Ă©tait en lui. Comme Pierre, nous sommes cet homme-lĂ , et nous avons abandonnĂ© notre maĂźtre, plusieurs fois peut-ĂȘtre. En combien d’occasion l’avons-nous reniĂ© secrĂštement, l’avons-nous dĂ©daignĂ©, tout comme les pires d’entre ses opposants 
 lui qui fut mĂ©prisĂ© et abandonnĂ© des hommes 
 Nous avons eu nos heures sombres et peut-ĂȘtre sommes-nous actuellement dans une heure sombre. La tristesse d’avoir Ă©chouĂ© sur le chemin de la sanctification, ou d’ĂȘtre arrĂȘtĂ© dans notre projet et notre dĂ©sir d’appartenir Ă  Christ, est parfois difficile Ă  supporter, et peut se transformer en douleur qui empoisonne littĂ©ralement notre cƓur. Nous avons manquĂ© le but, oui, Ă  plus d’un titre, et chaque pensĂ©e qui se rapporte Ă  cela semble creuser encore davantage le fossĂ© qui nous sĂ©pare de ce qui est saint, de ce qui est juste, de ce qui est parfait. Rappelons-nous que Dieu a Son Ɠil sur nous en ces instants qui plongent notre Ăąme dans l’obscuritĂ©, mais qui en mĂȘme temps projettent une saine et sainte lumiĂšre sur ce qu’est l’homme exactement 
 et lĂ , dans ces instants difficiles, Sa compassion est prĂ©sente, liĂ©e Ă  nous par un amour indĂ©fectible, l’amour d’un PĂšre; c’est une rĂ©alitĂ© puissante. Il est Ă  nos cĂŽtĂ©s. “Si notre cƓur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaĂźt toutes choses” 1 Jean 3/20. Et Christ n’est pas déçu, car Il n’attend pas le tĂ©moignage de l’homme Il n’attend pas de voir ce qui sort de l’homme, ses rĂ©sultats pour connaĂźtre sa valeur. Christ ne croit pas — n’a jamais cru — dans l’homme pour rĂ©ussir Ă  atteindre l’état d’homme fait[8] et accompli. Il n’a jamais escomptĂ© que l’homme rĂ©ussisse Ă  marcher dans la saintetĂ©. Il sait ce qui est dans l’homme. Et Il a besoin que l’homme connaisse lui aussi ce qui est dans l’Homme, afin que puisse naĂźtre une confiance nouvelle et totale en Lui, afin que cet immense capital confiance que l’homme dĂ©ploie en lui-mĂȘme soit transfĂ©rĂ© sur Lui, sur Christ. Pour que s’établisse cette comme-union dans laquelle le nouvel homme est revĂȘtu[9], grĂące au fait que l’ancien s’est vu dĂ©pouiller au travers de l’expĂ©rimentation de la dĂ©ception de nous-mĂȘmes. Pierre devait VOIR la nature rĂ©elle de son zĂšle et de son amour pour JĂ©sus, afin que sa confiance en lui-mĂȘme puisse ĂȘtre dĂ©crĂ©dibilisĂ©e, profanĂ©e Ă  ses propres yeux, et soit ainsi abandonnĂ©e au profit d’une nouvelle dĂ©pendance de Christ. Mais avant ce moment de vĂ©ritĂ© fatidique, quelle autre voie aurait-il pu suivre ? Aurait-il pu emprunter un autre chemin, plus parfait ? Aurait-il pu suivre son maĂźtre par un moyen ou par un autre, continuer de marcher sur l’eau avec lui ? Non. L’échec de Pierre Ă©tait malheureusement indispensable. L’expĂ©rience des limites de Pierre Ă©tait indispensable. Et ce chemin qui est le nĂŽtre aussi s’appelle le brisement. Qu’il soit compris comme UNE grande expĂ©rience fondatrice, ou dans une multitude de fragmentations, peu importe le processus du brisement est inhĂ©rent Ă  la dĂ©couverte de Dieu et Ă  la comprĂ©hension de Son amour. Le brisement[10] est la porte Ă©troite par laquelle l’intelligence ne peut entrer, et derriĂšre laquelle elle doit patienter tandis que nous entrons dans une nouvelle rĂ©vĂ©lation de l’Eternel. C’est le lieu de la saintetĂ© oĂč l’homme ne peut se tenir avec ses sandales naturelles. La Parole de Dieu nous avertit que c’est un malheur pour l’homme de mettre sa confiance dans l’homme[11] ! C’est un malheur que l’homme compte sur lui-mĂȘme pour travailler Ă  son propre salut[12], pour affronter ses ennemis, pour surmonter ses difficultĂ©s, pour triompher de ses Ă©preuves extĂ©rieures et intĂ©rieures 
 et surtout pour servir son Dieu. Le travail de l’Esprit, le ministĂšre de l’Esprit, consiste Ă  nous amener dans cette forme de mort Ă  nous-mĂȘmes Ă  l’homme pour nous amener Ă  une nouvelle naissance en Christ, une transition du vieil homme qui se corrompt systĂ©matiquement en toutes choses, mĂȘme dans les choses religieuses, pour revĂȘtir le nouvel homme, recréé en justice et saintetĂ©[13]. Et pour que ce chemin devienne lumineux, soit Ă©clairĂ© par l’étoile du matin, il est nĂ©cessaire que pĂąlisse l’éclat de notre propre lumiĂšre, de notre propre justice, de notre propre saintetĂ© c’est le processus de la mort Ă  soi-mĂȘme. Le Saint-Esprit nous a Ă©tĂ© donnĂ© pour que Christ nous apparaisse dans tout son rĂŽle salvateur et dans toute la lĂ©gitimitĂ© de sa seigneurie — Lui qui est la vraie lumiĂšre[14] — c’est pourquoi il est permis que nous connaissions, parfois, les chemins obscurs de l’échec, et que nous constations notre incapacitĂ© Ă  suivre JĂ©sus et Ă  ĂȘtre dignes de Lui. La dĂ©couverte de notre insuffisance est absolument nĂ©cessaire pour que l’étoile du matin[15] devienne notre espĂ©rance de plein salut. L’expĂ©rimentation de nos limites, parfois douloureuse lorsque nous dĂ©couvrons la lĂąchetĂ© qui nous habite, est indispensable pour que la perdition du cƓur humain devienne Ă  nos yeux totalement incontestable, et dĂ©finitive. Aussi longtemps que la corruption irrĂ©mĂ©diable du cƓur humain — de notre cƓur — n’est pas avĂ©rĂ©e en nous et que nous n’avons pas saisi que ce cƓur, notre cƓur, est incurable[16], nous ne trouvons pas le vĂȘtement de la Justice de Dieu, et la robe de noces. Pour ĂȘtre sauvĂ©, il faut ĂȘtre perdu, et il faut ĂȘtre pleinement perdu pour ĂȘtre pleinement sauvĂ©. C’est lorsque le lĂ©preux Ă©tait dĂ©clarĂ© totalement gagnĂ© par la maladie qu’il Ă©tait dĂ©clarĂ© pur[17]. Alors au cƓur de notre dĂ©ception de nous-mĂȘme, souvenons-nous que le regard que Dieu pose sur nous est plein de bienveillance, et ne ressent aucune surprise, car il sait ce qu’il y a dans l’homme. Ce sont des moments de croix, amers comme la mort. Mais la Bible dit que pour Dieu, nous sommes morts Il voit dĂ©jĂ  le processus accompli et que notre vie la vie vĂ©ritable qui nous est rĂ©servĂ©e est cachĂ©e avec Christ en Lui[18]. Je suis mort, tu es mort, nous sommes morts, et comment des morts pourraient-ils dĂ©cevoir Dieu ? Une seule chose L’intĂ©resse la mesure que Christ peut occuper dans notre vie, par l’espace qui est abandonnĂ© par le Naturel, et le niveau d’union de notre esprit Ă  Son Esprit, grĂące Ă  l’effondrement de notre propre justice, de notre propre force[19]. C’est le dĂ©but de la vie de vainqueur, le dĂ©but de nouveaux combats, d’une nouvelle guerre qui commence 
 par une dĂ©faite totale, celle de l’Homme, seule condition pour que toute la gloire puisse revenir Ă  Christ. “Il est bon pour moi d’avoir Ă©tĂ© affligĂ©, humiliĂ©, afin que j’apprenne tes status”. Psaume 119/71 JĂ©rĂŽmePrekel/Le Sarment/Jan2011 [1] C’est une vision anthropomorphique dont l’homme est le centre et qui confine la vision divine du salut Ă  l’interieur de la dimension humaine. [2] Le systĂšme des mĂ©rites, dans lequel nous Ă©voluons depuis notre enfance, est un obstacle Ă  la comprĂ©hension de la GrĂące, de la Justice, et Ă  leur pleine acceptation dans notre Salut. Il peut perturber la relation avec Dieu tout au long de la vie d’un chrĂ©tien et dĂ©naturer le sens de la sanctification, telle qu’elle est voulue par Dieu. Nul ne peut mĂ©riter son salut, et nul ne peut mĂ©riter l’amour de Dieu ou Ses exaucements. On n’obtient pas un meilleur salut en devenant meilleur l’homme ne peut devenir meilleur, c’est pourquoi le premier acte de sanctification accompli par JĂ©sus pour nous a consistĂ© Ă  tuer l’homme, en l’emmenant avec Lui sur la croix, et en l’ensevelissant avec lui dans le tombeau Rom. 6. Il n’est pas demandĂ© Ă  l’homme de devenir meilleur, mais de s’unir Ă  Christ en abandonnant sa vie propre, faite de Bien et de Mal. Et Christ fera Ă©merger Sa nature de ce processus Gal. 2/20, pour emmener l’homme vers la Vie vĂ©ritable, le Bien vĂ©ritable, la Justice et le bonheur Ă©ternel. [3] Si Dieu comptait sur l’homme pour ces choses, Il n’aurait pas rĂ©pandu Son Esprit sur toute chair. [4] Romains 7/14 [5] JĂ©rĂ©mie 17/9 [6] Luc 10/3 [7] Matthieu 10/8 [8] HĂ©breux 6/1 “C’est pourquoi, laissant la parole du commencement du Christ, avançons vers l’état d’hommes faits, ne posant pas de nouveau le fondement de la repentance des oeuvres mortes et de la foi en Dieu” [9] EphĂ©siens 4/21 “c’est en lui que vous avez Ă©tĂ© instruits Ă  vous dĂ©pouiller, eu Ă©gard Ă  votre vie passĂ©e, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, Ă  ĂȘtre renouvelĂ©s dans l’esprit de votre intelligence, et Ă  revĂȘtir l’homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une saintetĂ© que produit la vĂ©ritĂ© ». [10] Brisement intĂ©rieur, brisement de l’idĂ©al humain, brisement de la conception du bonheur terrestre
 [11] JĂ©rĂ©mie 17/5 “Ainsi dit l’Éternel Maudit l’homme qui se confie en l’homme, et qui fait de la chair son bras, et dont le coeur se retire de l’Éternel!” [12] Mettre en Ɠuvre son salut [13] EphĂ©siens 4/24 “et Ă  revĂȘtir l’homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une saintetĂ© que produit la vĂ©ritĂ©â€. [14] Jean 1/9 [15] 2 Pierre 1/19, Apocalypse 22/16 [16] JĂ©rĂ©mie 17/9 “Le coeur est trompeur par-dessus tout, et incurable; qui le connaĂźt?” [17] LĂ©vitique 13/13 [18] Colossiens 3/3 “Car vous ĂȘtes morts, et votre vie est cachĂ©e avec Christ en Dieu”. [19] Daniel 12/7 “
 toutes ces choses finiront quand la force du peuple saint sera entiĂšrement brisĂ©e
” Fnac Un projet d alphabĂ©tisation, Maudit soit l'homme qui se confie en l'homme, Angelica Liddell, Solitaires Intempestifs". Levering bij je thuis of in de winkel en -5% korting op alle boeken. Koop nieuw of tweedehands .
Photo de Yvon Buchmann LA CRAINTE DES HOMMES, RECHERCHER LA GLOIRE DES HOMMES, SE CONFIER EN L’HOMME Nous ne sommes pas seuls sur terre Nous vivons en sociĂ©tĂ© et avons des voisins, des collĂšgues de travail
, nous vivons dans une Église avec des frĂšres et des sƓurs, nous vivons en famille avec conjoint, parents, enfants
 Nous sommes influencĂ©s par les autres et nous influençons les autres. BREF RAPPEL DE QUELQUES PRINCIPES A LA BASE DE NOS RELATIONS AVEC LES AUTRES HOMMES Ne pas haĂŻr, ne pas mĂ©priser, ne pas critiquer, ne pas ĂȘtre injuste ou faire du tort, car Dieu voit tout et rend justice Ă  tous les opprimĂ©s. Mettre fin Ă  toute dispute, querelle, mĂ©sentente, animositĂ©, rancune
 en pardonnant tout totalement Ă  tous en demandant pardon pour nos torts en rĂ©parant ce qui peut l’ĂȘtre. Aimer tous les hommes au nom de JĂ©sus, et par le Saint Esprit Les ennemis prier pour eux, les bĂ©nir, leur faire du bien Le prochain, l’incroyant l’aimer comme nous mĂȘmes Les frĂšres en la foi les aimer comme Christ nous aimĂ©s Il faut toute la puissance du Saint Esprit pour rĂ©aliser ce programme. Ce qui rend absolument impĂ©ratif l’obĂ©issance Ă  ces commandements bibliques, c’est que si nous n’y obĂ©issons pas Dieu retient sa bĂ©nĂ©diction, nos efforts pour le servir sont inefficaces, nos priĂšres sont vaines, la lecture de la Parole de Dieu est difficile et stĂ©rile, nous gaspillons notre temps, nous gĂąchons notre vie et nous sommes malheureux. Dans la suite de cette mĂ©ditation j’aimerais Ă©tudier un autre aspect de nos relations avec les autres la crainte des hommes, le dĂ©sir de leur plaire, se confier en l’homme. I LA CRAINTE DES HOMMES Notre conduite est souvent dictĂ©e, consciemment ou non, par la peur des autres. Les rĂ©actions que nous pouvons craindre sont en nombre infini craintes vagues Que vont penser les autres ? Vont-ils m’aimer moins ? Crainte du qu’en-dira-t-on ? Peur de l’ironie, des dĂ©sapprobations, des moqueries, du mĂ©pris, des critiques, des dĂ©nonciations. Peur d’ĂȘtre traitĂ© de sectaire. Le mot secte fait peur. Par crainte des rĂ©actions nĂ©gatives, certains prĂ©dicateurs, dans leur propre assemblĂ©e, flattent les auditeurs au lieu de dĂ©noncer droitement les pĂ©chĂ©s. Ou bien ils renoncent Ă  enseigner la vĂ©ritĂ© quand ils prĂ©voient de l’opposition. Peur de perdre une personne proche par exemple un ami, un fiancĂ©, un conjoint si on tĂ©moigne du Seigneur. Il est souvent arrivĂ© que des hommes ou des femmes inconvertis aient divorcĂ© Ă  cause de la foi de leur conjoint. Il est aussi arrivĂ© que si le croyant menacĂ© tient ferme dans la foi, avec douceur et l’humilitĂ©, le conjoint finisse par se convertir ! Peur que les autres pourraient me nuire je ne peux pas dire qui je suis ni ce que je pense parce qu’on pourrait me faire du tort, on pourrait nuire Ă  ma carriĂšre, on pourrait se venger. Ce type de craintes existe trĂšs fortement dans les sociĂ©tĂ©s musulmanes les musulmans ont peur les uns des autres, peur des dĂ©loyautĂ©s et des traĂźtrises. Beaucoup ne font le ramadan que par crainte des consĂ©quences dans la famille et le cercle des connaissances. Avec la sorcellerie omniprĂ©sente, cette crainte est le plus grand obstacle Ă  l’évangĂ©lisation des musulmans. La motivation principale du comportement des enfants, prĂ©-adolescents, adolescents et souvent des jeunes adultes est la crainte des rĂ©actions des copains, le dĂ©sir de leur plaire et d’ĂȘtre acceptĂ© dans un ou plusieurs groupes. En fait les jeunes imitent et se conforment instinctivement aux modĂšles ambiants. C’est une condition de croissance et de dĂ©veloppement psychique et cognitif. La corruption et la perversion de ce comportement positif est le mimĂ©tisme pour plaire, pour ĂȘtre acceptĂ© dans un ou plusieurs groupes. Ce mimĂ©tisme est un vĂ©ritable esclavage. Il est une forme de dĂ©personnalisation, parce que les jeunes n’ont plus le courage d’ĂȘtre eux-mĂȘmes Il faut avoir grosso modo la mĂȘme coupe de cheveux, la mĂȘme posture nonchalante
 Il faut voir les mĂȘmes films, lire les mĂȘmes BD, partager les mĂȘmes idĂ©es, jouer aux mĂȘmes jeux vidĂ©os, avoir les mĂȘmes idoles du monde du spectacle, du sport
 Il faut avoir le mĂȘme type de baskets, de pantalons, de maillots de corps ou de polos, de sac d’école
Il faut utiliser le mĂȘme vocabulaire, quelque fois vulgaire. Il faut mĂȘme du courage pour rĂ©pondre aux questions d’un enseignant, en classe. En effet, certains Ă©lĂšves coopĂ©ratifs avec l’enseignant se sont ensuite fait molester en-dehors de l’école. Cette servitude est dangereuse pour la foi du jeune. Les parents prudents et sages mettront leurs enfants en contact avec des groupes de jeunes chrĂ©tiens. La crainte des hommes est un piĂšge La peur conduit Ă  pĂ©cher La Parole de Dieu affirme que la crainte des hommes nous met en danger de tomber dans les filets du diable Pr La crainte des hommes tend un piĂšge, mais celui qui se confie en l’Éternel est protĂ©gĂ©. Le piĂšge consiste Ă  pĂ©cher et Ă  oublier la crainte de Dieu. Ainsi Abram, en Égypte, par crainte des hommes, a prĂ©sentĂ© SaraĂŻ comme sa sƓur. Elle Ă©tait, en effet, sa demi-sƓur, mais elle Ă©tait aussi son Ă©pouse. Pharaon l’a donc prise pour sa femme, jusqu’à ce que Dieu intervienne en faveur d’Abram, Gn SaĂŒl a d’avantage eu la crainte des hommes que de Dieu lorsqu’il a Ă©pargnĂ© Agag, roi d’Amalec et les meilleurs ovins 1 S Alors SaĂŒl rĂ©pondit Ă  Samuel J’ai pĂ©chĂ©, car j’ai transgressĂ© l’ordre de l’Éternel et tes instructions, parce que j’ai eu peur de mĂ©contenter mes soldats, et j’ai cĂ©dĂ© Ă  leurs demandes. 1 S SaĂŒl rĂ©pĂ©ta J’ai pĂ©chĂ© ! Toutefois, en ce moment, je t’en supplie, continue Ă  m’honorer devant les responsables de mon peuple et devant IsraĂ«l. Reviens avec moi et je me prosternerai devant l’Éternel ton Dieu ! Saul recherche la faveur des hommes plus que la faveur de Dieu. Par crainte des hommes, Pierre a reniĂ© trois fois son Seigneur. Il jura mĂȘme qu’il ne le connaissait pas Mt Alors Pierre se mit Ă  dire Je le jure ! Et que je sois maudit si ce n’est pas vrai je ne connais pas cet homme ! Plus tard, en tant qu’apĂŽtre, il agit hypocritement par crainte de chrĂ©tiens judaĂŻsants et lĂ©galistes de la mouvance de Jacques. L’ApĂŽtre Paul le reprend publiquement Ga Mais, lorsque Pierre est venu Ă  Antioche, je me suis opposĂ© ouvertement Ă  lui, car il avait tort. En effet, avant l’arrivĂ©e de quelques personnes de l’entourage de Jacques, il prenait part aux repas communs avec les frĂšres non-juifs ; mais aprĂšs leur venue, il s’est esquivĂ© et s’est tenu Ă  l’écart, parce qu’il craignait les croyants d’origine juive. Comme lui, les autres chrĂ©tiens d’origine juive se sont mis, eux aussi, Ă  cacher leurs vĂ©ritables convictions, au point que Barnabas lui-mĂȘme s’est laissĂ© entraĂźner par leur dissimulation. Mais quand j’ai vu qu’ils ne marchaient pas droit, selon la vĂ©ritĂ© de l’Évangile, j’ai dit Ă  Pierre devant tous les frĂšres Toi qui es d’origine juive, tu vis comme un croyant d’origine paĂŻenne, et non comme un Juif. Comment peux-tu vouloir obliger les frĂšres d’origine paĂŻenne Ă  vivre comme des Juifs ? » La crainte des hommes et la crainte de Dieu sont antinomiques. Elles s’excluent mutuellement. La confiance en Dieu est l’antidote Ă  la crainte des hommes Notre conduite ne doit pas ĂȘtre dictĂ©e par les peurs, mais par la confiance en Dieu. Si je me prĂ©occupe davantage des opinions des hommes et de leurs rĂ©actions que de l’opinion de Dieu et de sa rĂ©action, je suis idolĂątre. David, alors qu’il Ă©tait en fuite devant SaĂŒl, dĂ©clara sa confiance en l’Éternel Ps Le jour oĂč j’ai peur, je mets ma confiance en toi. Je loue Dieu pour sa parole, je mets ma confiance en lui, et je n’ai pas peur. Que pourraient me faire de simples mortels ? Ps Oui, l’Éternel est ma lumiĂšre et mon Sauveur de qui aurais-je crainte ? L’Éternel protĂšge ma vie de qui aurais-je peur ? 
 Qu’une armĂ©e vienne m’assiĂ©ger, mon cƓur reste sans crainte. Que l’on me dĂ©clare la guerre, je suis plein d’assurance. Le peuple de Dieu de l’Ancienne Alliance ne devait pas craindre ses ennemis, les CananĂ©ens, l’Assyrien, le roi de Babylone
 La crainte est mauvaise conseillĂšre. Nous devons honorer tous et ne craindre personne. PriĂšre Demandons maintenant pardon dans notre cƓur pour toute crainte des hommes et refusons-la au nom de JĂ©sus ! II NE PAS CHERCHER A PLAIRE AUX HOMMES La soif de plaire aux hommes existe dans tous les groupes, sociĂ©tĂ©s, corporations, conseils, assemblĂ©es, communautĂ©s humains
 Nous devons tout faire pour le Seigneur et non pour les hommes L’EcclĂ©siaste a une opinion trĂšs nĂ©gative sur la motivation du travail en gĂ©nĂ©ral Ec SEM J’ai aussi constatĂ© que tout labeur et que toute habiletĂ© que les hommes mettent Ă  leurs Ɠuvres sont motivĂ©s par la rivalitĂ© des uns envers les autres. Cela aussi est dĂ©risoire autant courir aprĂšs le vent. Ec SG21 J’ai vu que toute la peine que l’on se donne et tout le succĂšs que l’on recherche dans une entreprise ne sont motivĂ©s que par la jalousie de l’homme vis-Ă -vis de son prochain. Cela aussi, c’est de la fumĂ©e et cela revient Ă  poursuivre le vent ou C’est encore lĂ  une vanitĂ© et la poursuite du vent . Pour Ă©viter de tomber dans ce piĂšge, nous devons vraiment nous focaliser sur le Seigneur et tout faire avec lui et pour lui. Dans tout ce que nous faisons pour Dieu, nous devons rechercher exclusivement la gloire de Dieu. ‱ Si nous sommes employĂ©s ou ouvriers nous devons travailler uniquement pour JĂ©sus-Christ et non pour le chef, le patron ou le directeur Col SEM Serviteurs, obĂ©issez en tous points Ă  vos maĂźtres terrestres, et pas seulement quand on vous surveille, comme s’il s’agissait de plaire Ă  des hommes, mais de bon grĂ©, parce que vous avez la crainte du Seigneur. 23 Quel que soit votre travail, faites-le de tout votre cƓur, et cela par Ă©gard pour le Seigneur et non par Ă©gard pour des hommes. 24 Car vous savez que vous recevrez du Seigneur, comme rĂ©compense, l’hĂ©ritage qu’il rĂ©serve au peuple de Dieu. Le MaĂźtre que vous servez, c’est le Christ. 25 Celui qui agit mal recevra, quant Ă  lui, le salaire que mĂ©ritent ses mauvaises actions, car Dieu ne fait pas de favoritisme. Si nous sommes patrons, responsables, directeurs, soyons justes et respectueux envers les ouvriers et employĂ©s, Ă  cause de Dieu Col SEM MaĂźtres, traitez vos serviteurs avec justice et d’une maniĂšre Ă©quitable, car vous savez que vous avez, vous aussi, un MaĂźtre dans le ciel. Chacun doit se sentir responsable devant Dieu et doit travailler pour Dieu qui donne Ă  chacun la rĂ©compense que mĂ©ritent ses Ɠuvres. Le dĂ©sir de plaire aux hommes empĂȘche de croire Jn Comment pourriez-vous parvenir Ă  la foi alors que vous voulez ĂȘtre applaudis les uns par les autres et que vous ne recherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul ? Ces chefs Juifs Ă©taient pieux, pratiquants, croyait l’Ancien Testament, priaient et jeĂ»naient beaucoup, mais ne pouvaient parvenir Ă  la foi en JĂ©sus-Christ. Être Ă  l’affĂ»t des louanges des autres et de leur approbation, est un pĂ©chĂ© qui bloque la vie spirituelle et empĂȘche toute foi vĂ©ritable. Ces chefs Juifs se connaissaient bien, ils formaient une caste solidaire, plus ou moins unie, dans laquelle il y avait des meneurs. Ils partageaient constamment leurs opinions. Ils ne tenaient pas le peuple en trĂšs haute estime, ils pensaient plus ou moins la mĂȘme chose sur JĂ©sus. Il Ă©tait donc trĂšs difficile de se dĂ©marquer en exprimant une opinion diffĂ©rente de celle de la caste. Donner aux hommes la place qui revient Ă  Dieu seul est une forme d’idolĂątrie. Le dĂ©sir de plaire aux hommes empĂȘche la foi qui existe de se dĂ©velopper Jn Et pourtant, mĂȘme parmi les dirigeants, beaucoup crurent en lui ; mais, Ă  cause des pharisiens, ils n’osaient pas le reconnaĂźtre ouvertement de peur d’ĂȘtre exclus de la synagogue. Car ils tenaient davantage Ă  l’approbation des hommes qu’à celle de Dieu. NicodĂšme, pharisien et membre du SanhĂ©drin, est venu voir JĂ©sus de nuit, par crainte de ses confrĂšres. Il croyait en JĂ©sus, mais en secret, Jn Il n’a rien fait ou dit qui aurait pu le faire exclure du SanhĂ©drin. Pour sortir des rangs et affirmer ouvertement sa foi en JĂ©sus le Messie, il aurait fallu un grand courage et une douloureuse mort Ă  soi-mĂȘme. Cependant, lorsque les membres du SanhĂ©drin ont envoyĂ© des gardes du Temple pour s’emparer de JĂ©sus et que, dĂ©sarmĂ©s par les Paroles de JĂ©sus, ils sont revenus sans l’avoir saisi, ce docteur de la Loi leur fait remarquer que la Loi ne permettait pas de condamner quelqu’un sans qu’il ait eu le droit de s’exprimer Jn 7. 44-52 Quelques-uns voulaient l’arrĂȘter mais personne n’osa porter la main sur lui. 45 Les gardes du Temple retournĂšrent auprĂšs des chefs des prĂȘtres et des pharisiens. Ceux-ci leur demandĂšrent Pourquoi ne l’avez-vous pas amenĂ© ? 46 Ils rĂ©pondirent Personne n’a jamais parlĂ© comme cet homme. 47 —Quoi, rĂ©pliquĂšrent les pharisiens, vous aussi, vous vous y ĂȘtes laissĂ© prendre ? 48 Est-ce qu’un seul des chefs ou un seul des pharisiens a cru en lui ? 49 Il n’y a que ces gens du peuple qui ne connaissent rien Ă  la Loi
 ce sont tous des maudits ! 50 LĂ -dessus, l’un d’entre eux, NicodĂšme, celui qui, prĂ©cĂ©demment, Ă©tait venu trouver JĂ©sus, leur dit 51 —Notre Loi nous permet-elle de condamner un homme sans l’avoir entendu et sans savoir ce qu’il a fait de mal ? 52 —Es-tu, toi aussi, de la GalilĂ©e ? lui rĂ©pondirent-ils. Consulte les Écritures, et tu verras qu’aucun prophĂšte ne sort de la GalilĂ©e. Finalement, avec un autre membre du SanhĂ©drin, Joseph d’ArimathĂ©e, qui n’avait pas approuvĂ© la sentence de mort prononcĂ©e sur JĂ©sus par le SanhĂ©drin, et qui croyait aussi en JĂ©sus en secret, NicodĂšme eu un grand geste de courage, aprĂšs la mort de JĂ©sus Jn AprĂšs ces Ă©vĂ©nements, Joseph, de la ville d’ArimathĂ©e, alla demander Ă  Pilate la permission d’enlever le corps de JĂ©sus. Il Ă©tait aussi disciple du Seigneur, mais il s’en cachait par peur des autoritĂ©s religieuses. Pilate y consentit. Joseph alla donc prendre le corps de JĂ©sus. NicodĂšme vint Ă©galement. C’était lui qui, auparavant, Ă©tait allĂ© trouver JĂ©sus de nuit. Il apporta environ trente kilogrammes d’un mĂ©lange de myrrhe et d’aloĂšs. Tous deux prirent donc le corps de JĂ©sus et l’enveloppĂšrent de linges funĂ©raires en y mettant des aromates, selon les usages funĂ©raires des Juifs. Tout ministĂšre spirituel est souillĂ© s’il y a recherche de la gloire des hommes L’ApĂŽtre Paul ne cherche pas Ă  plaire aux auditeurs ou aux lecteurs de ses Ă©pĂźtres, il ne recherche pas les honneurs, les louanges
 1 Th En effet, si nous invitons les hommes Ă  croire
c’est parce que Dieu nous a jugĂ©s dignes d’ĂȘtre chargĂ©s de la proclamation de l’Évangile et nous l’annonçons, pour plaire non aux hommes mais Ă  Dieu qui juge nos cƓurs. Jamais, vous le savez, nous n’avons eu recours Ă  des discours flatteurs. Jamais nous n’avons tentĂ© de vous exploiter sous le couvert de bonnes paroles Dieu en est tĂ©moin ! Nous n’avons jamais cherchĂ© Ă  ĂȘtre applaudis par les hommes, pas plus par vous que par d’autres
 Ga Est-ce la faveur des hommes que je recherche ou celle de Dieu ? Mon dĂ©sir est-il de plaire aux hommes ? Si je cherchais encore Ă  plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ. L’ApĂŽtre Pierre affirme que chaque chrĂ©tien a au moins un don qu’il doit mettre au service des autres, mais de maniĂšre Ă  donner toute la gloire Ă  Dieu 1 P Chacun de vous a reçu de Dieu un don particulier qu’il le mette au service des autres comme un bon gĂ©rant de la grĂące infiniment variĂ©e de Dieu. Que celui qui parle transmette les paroles de Dieu. Que celui qui sert accomplisse sa tĂąche avec la force que Dieu donne. Agissez en toutes ces choses de maniĂšre Ă  ce que la gloire revienne Ă  Dieu par JĂ©sus-Christ, Ă  qui appartiennent la gloire et la puissance pour l’éternitĂ©. Amen ! Celui qui se soucie de plaire, prĂȘche de son propre fond Jn Celui qui parle en son propre nom recherche sa propre gloire. Mais si quelqu’un vise Ă  honorer celui qui l’a envoyĂ©, c’est un homme vrai ; il n’y a rien de faux en lui. Il y a une malĂ©diction Ă  rechercher, en tant que serviteur de Dieu, la faveur des hommes et la popularitĂ© Luc Malheur Ă  vous quand tous les hommes diront du bien de vous, car c’est de la mĂȘme maniĂšre que leurs ancĂȘtres ont traitĂ© les faux prophĂštes. Le roi SaĂŒl a perdu la royautĂ© et la dynastie royale, par son dĂ©sir de plaire au peuple et aux Anciens du peuple. Il cherchait les honneurs. Il voulait ĂȘtre populaire et bien vu. Il disait au prophĂšte Samuel continue Ă  m’honorer devant les responsables de mon peuple et devant IsraĂ«l. Il Ă©tait davantage focalisĂ© sur les hommes que sur Dieu. Il n’avait pas Ă  cƓur d’obĂ©ir Ă  Dieu et de l’honorer. C’est pourquoi Dieu l’a rejetĂ©. Le jeune Elihou, dĂ©clare parler Ă  Job et Ă  ses amis en toute droiture et intĂ©gritĂ©, craignant mĂȘme que Dieu pourrait le faire mourir s’il voulait les flatter pour en ĂȘtre bien vu Jb Je veux ĂȘtre impartial et ne flatter personne. D’ailleurs, je ne sais pas l’art de la flatterie, et celui qui m’a fait m’enlĂšverait bien vite. La caractĂ©ristique des vrais serviteurs de Dieu semble ĂȘtre plutĂŽt la persĂ©cution que la popularitĂ© et la gloire Mt Heureux ceux qui sont opprimĂ©s pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient. Heureux serez-vous quand les hommes vous insulteront et vous persĂ©cuteront, lorsqu’ils rĂ©pandront toutes sortes de calomnies sur votre compte Ă  cause de moi. Ainsi donc, on ne peut pas ĂȘtre serviteur de Christ et mendier l’approbation des hommes. DĂ©sir de plaire Ă  Dieu et dĂ©sir charnel de plaire aux hommes s’excluent mutuellement. L’exemple de JĂ©sus Le comportement de JĂ©sus avec ses contemporains Ă©tait, Ă  tout point de vue, parfait et exemplaire. Il est notre modĂšle Jn SEM Je JĂ©sus ne cherche pas Ă  ĂȘtre applaudi par les hommes. Jn SG21 Je ne reçois pas ma gloire des hommes. Jn SEM Non, je ne recherche pas la gloire pour moi-mĂȘme c’est un autre qui s’en prĂ©occupe et il me rendra justice. Jn SEM JĂ©sus rĂ©pondit Si je m’attribuais moi-mĂȘme ma gloire, cela n’aurait aucune valeur. Celui qui me glorifie, c’est mon PĂšre
 JĂ©sus ne se glorifie pas lui-mĂȘme et ne cherche pas Ă  ĂȘtre glorifiĂ© par les humains. C’est Dieu qui Ă©lĂšve les humbles JĂ©sus n’a pas recherchĂ© mais a acceptĂ© les gestes honorifiques et les acclamations que le Saint Esprit a inspirĂ©s Ă  la foule, quand il est entrĂ© Ă  JĂ©rusalem, assis sur un Ăąnon Mt Une grande foule de gens Ă©tendirent leurs manteaux sur le chemin. D’autres coupĂšrent des branches aux arbres et en jonchĂšrent le chemin. Hosanna au Fils de David ! BĂ©ni soit celui qui vient de la part du Seigneur ! Hosanna Ă  Dieu au plus haut des cieux ! Nous de mĂȘme, ne recherchons pas les louanges, mais acceptons simplement, sans fausse humilitĂ©, les remerciements justes et sincĂšres. III SE CONFIER EN L’HOMME OU EN DIEU ? Pr Beaucoup recherchent la faveur de celui qui domine ou du chef, mais c’est l’Éternel qui rend justice Ă  chacun. Ps Mieux vaut se rĂ©fugier auprĂšs de l’Éternel que de compter sur les humains. Mieux vaut se rĂ©fugier auprĂšs de l’Éternel que de compter sur les gens importants. Nous sommes fragiles et dĂ©pendants L’homme est un roseau, le plus faible de la nature », dit Blaise Pascal. L’homme est vulnĂ©rable, il a souvent conscience de sa faiblesse, et cherche alors Ă  s’appuyer sur un protecteur. Cette rĂ©action est normale. Elle n’est pas un signe de lĂąchetĂ© ou de faiblesse de caractĂšre. Ce qui est dĂ©terminant, c’est ce sur quoi nous nous appuyons ! Fausses adresses Dans nos divers besoins physiques, psychiques ou spirituels, en toute difficultĂ© professionnelle, de santĂ© ou autre, nous avons tendance Ă  chercher du secours auprĂšs des hommes et Ă  nous confier dans les capacitĂ©s humaines. Nous attendons souvent des autres ce que Dieu seul peut nous accorder. Certes, Dieu peut utiliser des hommes mĂ©decins, fonctionnaires quelconques
 mais notre confiance doit ĂȘtre placĂ©e prioritairement en Dieu. Dieu peut guĂ©rir avec ou sans mĂ©decin ! L’essentiel est que je n’idolĂątre pas l’instrument par lequel Dieu me fait du bien. L’Écriture va mĂȘme jusqu’à dire que c’est une malĂ©diction que de se confier en l’homme Es Malheur Ă  ceux qui s’en vont en Égypte pour avoir du secours, et qui comptent sur les chevaux, qui mettent leur confiance dans le nombre des chars et dans la grande force des Ă©quipages, mais ne regardent pas vers le Saint d’IsraĂ«l et ne se soucient pas de l’Éternel ! Et pourtant, lui aussi agit avec habiletĂ© pour faire venir le malheur, il ne rĂ©voque pas ce qu’il a dĂ©crĂ©tĂ© et il se dressera contre le parti des mĂ©chants et contre les appuis de ceux qui font le mal. Jr Voici ce que dĂ©clare l’Éternel Maudit soit l’homme qui compte sur des hommes et qui fait des moyens humains la source de sa force mais qui dĂ©tourne son cƓur de l’Éternel. Il est comme un buisson dans le dĂ©sert, et il ne verra pas arriver le bonheur. Il aura pour demeure un aride dĂ©sert, une terre salĂ©e oĂč n’habite personne. BĂ©ni soit l’homme qui se confie en l’Éternel et place sa confiance en l’Éternel. Il sera comme un arbre plantĂ© prĂšs d’un cours d’eau qui Ă©tend ses racines vers le ruisseau, il ne redoute rien lorsque vient la chaleur ses feuilles restent vertes ; il ne s’inquiĂšte pas pendant l’annĂ©e de sĂ©cheresse, et il ne cesse pas de produire du fruit. Ceux qui s’appuient sur l’Éternel sont en bĂ©nĂ©diction aux autres Mi Le reste de Jacob sera, parmi de nombreux peuples, semblable Ă  la rosĂ©e qui vient de l’Éternel, ou aux averses tombant sur l’herbe elles n’attendent rien de l’homme et n’espĂšrent rien des humains. Dieu peut utiliser des humains pour nous faire du bien, mais notre espĂ©rance doit ĂȘtre en l’Éternel seul. Car en dĂ©finitive, tout nous vient de lui et par lui Dieu est suffisant Ps Les uns s’appuient sur leurs chars, les autres sur leurs chevaux ; nous, nous cĂ©lĂ©brons l’Éternel, notre Dieu. Eux, ils plient et tombent ; nous, nous tenons ferme, nous restons debout. Seul Dieu est tout-puissant et il est plein de compassion Ps Ne placez pas votre foi dans les puissants de ce monde ni dans des humains incapables de sauver ! 4 DĂšs qu’ils ont poussĂ© leur dernier soupir, ils retournent Ă  la terre et, au mĂȘme instant, leurs projets s’évanouissent. 5 Heureux l’homme qui a pour appui le Dieu de Jacob et dont l’espĂ©rance est dans l’Éternel son Dieu. 6 Car l’Éternel a créé le ciel et la terre ainsi que la mer, avec tout ce qui s’y trouve. Il reste Ă  jamais fidĂšle. 7 Il fait droit aux opprimĂ©s ; il nourrit les affamĂ©s ; l’Éternel relĂąche ceux qui sont emprisonnĂ©s. 8 L’Éternel rend la lumiĂšre aux aveugles. L’Éternel relĂšve celui qui flĂ©chit. L’Éternel est plein d’amour pour les justes. 9 L’Éternel protĂšge l’étranger, il est le soutien de la veuve et de l’orphelin. Mais il fait Ă©chec aux plans des mĂ©chants. 10 L’Éternel est Roi pour l’éternitĂ©. Il est ton Dieu, ĂŽ Sion, de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. Louez l’Éternel ! Nous avons, dans ce psaume, de nombreuses bonnes raisons de nous appuyer uniquement sur Dieu. Es Cessez donc de vous confier en l’homme dont la vie ne tient qu’à un souffle, car, quelle est sa valeur ? Ps Ce n’est pas une grande armĂ©e qui sauve le roi, ce n’est pas sa grande force qui dĂ©livre le guerrier. 17 Le cheval est impuissant pour assurer le salut, et toute sa vigueur est incapable de procurer la dĂ©livrance, 18 mais le regard de l’Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui espĂšrent en sa bontĂ©, 19 afin de les dĂ©livrer de la mort et de les faire vivre, mĂȘme en temps de famine. 20 Nous espĂ©rons en l’Éternel notre secours et notre bouclier, c’est lui. 21 Oui, c’est en lui que notre cƓur se rĂ©jouit, c’est en son saint nom que nous avons confiance. 22 Éternel, que ta grĂące soit sur nous lorsque nous espĂ©rons en toi ! Dieu est fidĂšle et ne nous abandonnera jamais s’il n’y a pas de pĂ©chĂ© qui nous sĂ©pare de lui. Car seul le pĂ©chĂ© peut empĂȘcher Dieu de nous secourir en tous nos besoins et de nous faire du bien. Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Prions Éternel Dieu, notre tendre PĂšre, je te demande pardon d’avoir souvent eu la crainte des hommes, d’avoir souvent cherchĂ© Ă  leur plaire, de m’ĂȘtre souvent confiĂ© en eux d’une confiance insensĂ©e et idolĂątre. Pardonne-moi. Veuille me purifier et me libĂ©rer de ces attitudes coupables. Tu es mon secours, ma force, ma sĂ©curitĂ© et ma victoire. Avec l’aide du Saint Esprit que tu m’as donnĂ© et qui demeure en moi, je veux dorĂ©navant m’appuyer exclusivement sur toi, car tu es suffisant. Merci pour ta toute-puissance, ton amour et ta fidĂ©litĂ©. Amen. Ps Mets en l’Éternel toute ta confiance ! Fais ce qui est bien, et, dans le pays, tu demeureras en sĂ©curitĂ©. En Dieu, mets ta joie et il comblera les vƓux de ton cƓur. C’est Ă  l’Éternel qu’il te faut remettre tout ton avenir. Aie confiance en lui et il agira. Il fera paraĂźtre ta justice comme la lumiĂšre, et ton droit comme le soleil Ă  midi. ThĂ©ophile Hammann
Lemalheur de l'homme est qu'il a une Ăąme de comptable. L'homme n'est ni ange ni bĂȘte, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bĂȘte. Le plus grand malheur de l'homme, c'est un mariage heureux. Aucun espoir de divorce. L'homme c'est le malheur il n'y a que les sots pour prĂ©tendre le contraire. C'est un malheur que de naĂźtre et Bonjour Bien aimĂ©e, En faisant paĂźtre le troupeau de son beau-pĂšre JĂ©thro, MoĂŻse s’est retrouvĂ© face Ă  un buisson ardent qui ne se consumait point Exode 3 1-4. Ce feu ne tirait donc pas sa force, sa vie des branches ou du bois du buisson mais plutĂŽt de Dieu. Les adolescents se fatiguent et se lassent et les jeunes hommes chancellent », dit la Bible dans EsaĂŻe 40 30. Ce passage ne parle pas des personnes du troisiĂšme Ăąge mais de jeunes gens censĂ©s avoir de la vigueur. Pourquoi se fatiguent-ils et chancellent-ils alors ? Parce qu’ils comptent sur leur jeunesse pour se prĂ©tendre forts. Mais cette jeunesse sur laquelle ils s’appuient finit par les trahir. Le feu de leur buisson ardent tire sa force d’un bois qui se consume ! Sur quoi ou sur qui t’appuies-tu, Bien-aimĂ© e ? Comptes-tu sur ton intelligence, tes diplĂŽmes, ton expĂ©rience ou sur tes relations pour dĂ©crocher cet emploi que tu recherches tant ? T’appuies-tu sur ton compte en banque pour relever ce dĂ©fi financier qui se dresse devant toi ? T’appuies-tu sur ta beautĂ© et ton charme pour trouver un conjoint ? Te fies-tu Ă  ton Ăąge avant la mĂ©nopause pour avoir un enfant ? T’appuies-tu ta vie de priĂšre assidue pour maintenir ton zĂšle pour l’Ɠuvre de Dieu ? Comptes-tu sur la situation sociale Ă©levĂ©e de certains fidĂšles de ton Ă©glise pour organiser cette croisade d’évangĂ©lisation ? Comptes-tu sur ton onction et ton expĂ©rience dans le ministĂšre pour faire marcher ce paralytique ? Que ferais-tu si tous ces appuis disparaissaient Ă  cause des circonstances ou des coups de la vie ? Tu perdrais toute force ! Le bois qui alimente les flammes de ton buisson ardent se consumerait et ton feu s’éteindrait ! Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point », affirme la Parole de Dieu dans EsaĂŻe 40 31. Oui, Bien-aimĂ©e, seuls ceux qui prennent appui sur le Seigneur peuvent courir sans se lasser, marcher sans se fatiguer, maintenir leur feu allumĂ©. Abraham, avait espĂ©rĂ©, durant sa jeunesse, avoir un enfant avec Sarah son Ă©pouse, en vain ! Lorsque dans sa vieillesse, Dieu lui annonça qu’il allait avoir un hĂ©ritier, il comprit que Sara et lui ne pouvaient s’appuyer que sur le Seigneur pour avoir la force d’engendrer un fils. Et sans faiblir dans la foi, il ne considĂ©ra point que son corps Ă©tait dĂ©jĂ  usĂ©, puisqu’il avait prĂšs de cent ans, et que Sara n’était plus en Ă©tat d’avoir des enfants », souligne la Bible dans Romains 4 19. Abraham crut en Dieu, s’appuya sur Lui et il vit la gloire de Dieu. Alors, Bien-aimĂ©e, demande au PĂšre de te sonder et examine tes appuis. Malheur Ă  ceux qui descendent en Egypte pour avoir du secours, qui s’appuient sur des chevaux, et se fient Ă  la multitude des chars et Ă  la force des cavaliers, mais qui ne regardent pas vers le Saint d’IsraĂ«l et ne recherchent pas l’Eternel!», est-il Ă©crit dans EsaĂŻe 311. Si tu t’es appuyĂ©e sur autre chose ou sur une personne autre que ton PĂšre cĂ©leste, repens-toi et rectifie ta conduite. Appuie-toi uniquement sur ton PĂšre cĂ©leste, compte uniquement sur Lui, fie-toi entiĂšrement Ă  Lui. Que Dieu soit la source de ta force ! Que Dieu soit la source de ta flamme ! Ainsi, tu retrouveras et garderas la force qu’il te faut pour obtenir la victoire sur ce dĂ©fi auquel tu fais face. Tu conserveras alors ton zĂšle pour l’Ɠuvre de Dieu, pour continuer Ă  faire le bien et le feu de ton buisson ardent ne s’éteindra pas ! Que Dieu te bĂ©nisse Bien aimĂ©e Pasteur Mohammed s72aM7.
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/395
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/66
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/215
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/410
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/193
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/474
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/8
  • 1iz0gf62gr.pages.dev/456
  • malheur Ă  l homme qui se confie en l homme