29Celaoblige Ă distinguer deux espĂšces de savoir : le savoir Plus je sais et le savoir Plus je ne sais pas, celui dont on peut seulement dire quâil y a savoir et qui le dit.Cette distinction entre deux types de savoir â le savoir auquel le Je sais peut sâajouter et le savoir auquel le Je sais ne peut pas sâajouter â rend nĂ©cessaire, comme mĂ©diation, comme lien, la fonction du
C'est vrai, presque vrai, ça contient une part de vĂ©ritĂ©, c'est pas faux, on peut aussi le comprendre de cette maniĂšre ...Existe-t-il UNE grande vĂ©ritĂ© ou plusieurs petites vĂ©ritĂ©s ? Cher ami internaute, je vous propose de choisir en introduction entre ces deux propositions, celle qui vous paraĂźt la plus cohĂ©rente JĂ©sus dit Je suis le chemin, la vĂ©ritĂ©, et la vie. » Jean RenĂ© Descartes dit Seule la raison humaine a la capacitĂ© de connaĂźtre et d'Ă©tablir la vĂ©ritĂ©. » Elle est importante cette question dâune vĂ©ritĂ© universelle, Ă notre Ă©poque, oĂč il se dit que toutes les religions se valent, oĂč refuser lâopinion de lâautre relĂšve de lâintolĂ©rance, oĂč les philosophes qui se veulent les arbitres de lâexistence de Dieu, en viennent Ă nier lâexistence rĂ©elle de JĂ©sus-Christ, personnage pourtant bien rĂ©el et historique⊠La vĂ©ritĂ© est-elle unique ? On peut se poser la question de lâunicitĂ© de cette vĂ©ritĂ©, car en rĂ©alitĂ©, elle impacte tous les domaines de la vie. Les sciences, domaine a priori factuel, ne proposent aucune vĂ©ritĂ© universelle, puisquâelles Ă©voluent en permanence, reniant les acquis antĂ©rieurs au fil des dĂ©couvertes. Câest dâailleurs lâimmense frustration que ressent tout Ă©tudiant ingĂ©nieur ou doctorant, au soir de ses Ă©tudes. En revanche, la Bible affirme une vĂ©ritĂ© universelle, une seule, rĂ©vĂ©lĂ©e dans le texte, qui se veut Parole exclusive de Dieu, le CrĂ©ateur de lâUnivers qui nous hĂ©berge. Et lâaccĂšs Ă cette vĂ©ritĂ© procure en plus lâaccĂšs au salut, par la rĂ©vĂ©lation du Sauveur, JĂ©sus-Christ. Conduis-moi dans ta vĂ©ritĂ©, et instruis-moi; Car tu es le Dieu de mon salut, Tu es toujours mon Et cette vĂ©ritĂ© prĂ©sentĂ©e par la Bible se propose dâimpacter notre vision du Monde, mais aussi nos relations avec nos prochains, sous la forme de lois, qui ne sont pas du tout pĂ©rimĂ©es par ailleurs. Tu descendis sur la montagne de SinaĂŻ, tu leur parlas du haut des cieux, et tu leur donnas des ordonnances justes, des lois de vĂ©ritĂ©, des prĂ©ceptes et des commandements La vĂ©ritĂ© des philosophes La vĂ©ritĂ© des philosophes en revanche nâest guĂšre rĂ©jouissante, car la multiplicitĂ© de lâoffre dans ce domaine, et lâabsence totale de vainqueur, câest-Ă -dire de philosophe qui aurait Ă©mis une vĂ©ritĂ© englobant toutes les autres, fait que les philosophies, ne relĂšvent que de lâopinion, si intĂ©ressantes, ou respectables, soient-elles. Donc aucune dâelle nâest universelle, et donc nâest vĂ©ritĂ© ». Ces opinions philosophiques impactent directement lâorganisation sociĂ©tale des communautĂ©s dâindividus, et sur ce point, il nâen ressort aucune qui soit supĂ©rieure Ă toutes les autres, au grand dam de ceux qui critiquent les sociĂ©tĂ©s dites premiĂšres ». En fait, Ă nos amis philosophes, je voudrais proposer un retour Ă la Bible, tellement chaleureuse, par le rĂ©confort quâelle apporte, lĂ oĂč les pensĂ©es humaines Ă©chouent. Ciel, applaudis ! Et toi, terre, rĂ©jouis-toi ! Montagnes, criez de joie ! Le Seigneur redonne de lâespoir Ă son peuple, il a pitiĂ© des La vĂ©ritĂ© existe-t-elle en science ? La science, se dĂ©finit comme un ensemble de modĂšles 2 + 2 = 4, qui permettent de prĂ©dire le rĂ©sultat dâexpĂ©riences, lesquelles sont indĂ©pendantes du lieu et de lâinstant. Je ne retiens pas dans mon coeur ta justice, je publie ta vĂ©ritĂ© et ton salut; je ne cache pas ta bontĂ© et ta fidĂ©litĂ© dans la grande La physique quantique qui dĂ©crit lâintĂ©rieur de lâatome est totalement incompatible avec la physique du visible. Les mĂ©dias dĂ©forment la rĂ©alitĂ© des expĂ©riences, en prĂ©sentant des images dâexoplanĂštes, rĂ©elles, mais invisibles au tĂ©lescope. Ils prĂ©sentent aussi de belles images de particules atomiques, neutrinos et autres, alors que ces bidules ne sont que des solutions dâĂ©quations, que personne nâa jamais touchĂ© ! En matiĂšre de biologie, le dĂ©sastre dans la recherche dâune vĂ©ritĂ© universelle est patent, car personne nâa encore su crĂ©er la vie Ă partir de rien. Pire, plus la connaissance des mĂ©canismes de fonctionnement des cellules augmente, plus il reste de choses Ă apprendre. Alors finalement, jâose affirmer la vanitĂ© de la science nâoffre dâautre alternative que de sâĂ©merveiller devant la perfection de la crĂ©ation divine Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et lâĂ©tendue manifeste lâĆuvre de ses Et surtout je mets en garde contre la manipulation de la science, en tant que vĂ©ritĂ© apparente, qui est utilisĂ©e de nos jours pour introduire des fausses-rĂ©alitĂ©s, telles que les extra-terrestres et autres illusions, issues dâerreurs de calculs dans des modĂšles scientifiques. Conclusion LA vĂ©ritĂ© est inatteignable en dehors de celle rĂ©vĂ©lĂ©e par la Bible La vĂ©ritĂ©, vue de lâhomme pensant, se dĂ©finit comme un modĂšle englobant la totalitĂ© des expĂ©riences en sciences, sociologie, philosophie⊠Mais personne nây arrivera, pire la communautĂ© scientifique sâen Ă©loigne irrĂ©mĂ©diablement, contrairement au dogme du siĂšcle des lumiĂšres. Et pour rĂ©pondre Ă la dĂ©faite de la raison du chrĂ©tien » que raillent les philosophes athĂ©es, tels Nietzsche ou Kant, je propose de regarder la vie avec un peu de recul, comme le faisait Salomon VanitĂ© des vanitĂ©s, dit lâEcclĂ©siaste, vanitĂ© des vanitĂ©s, tout est vanitĂ©. EcclĂ©siaste Sanctifie-les par ta vĂ©ritĂ© Ta Parole est LA VĂ©ritĂ©. PS Jâai tentĂ© de rĂ©sumer ici une longue dĂ©marche personnelle de lecture parallĂšle de la Bible et de la science, que je pratique au quotidien depuis 35 ans. Jâen ai Ă©crit un livre, La Bible et la Science et aussi un long article, qui sera bientĂŽt disponible en ligne.
ChaqueĂȘtre humain possĂšde des opinions qu'on comprendra comme vĂ©ritĂ© vu que la vĂ©ritĂ© absolue n'existe pas. Par consĂ©quent, il est Ă la fois possible et impossible de soutenir Ă chacun sa vĂ©ritĂ© selon la dĂ©finition qu'on lui prĂȘte. La vĂ©ritĂ© peut sembler universelle, il serait donc impossible d'avoir des vĂ©ritĂ©s diffĂ©rentes. [] []
On a tous nos vĂ©ritĂ©s mais la vraie vĂ©ritĂ© elle existe ? Dans les faits oui mais les faits sont des vĂ©ritĂ©s hors on sait que les vĂ©ritĂ©s varient alors les faits ne sont pas vrais Il ya quoi de vraie ducoup Oui mais ce n'est pas une notion logico ontologique. En fait c'est mĂȘme pas une notion. La vĂ©ritĂ© est antĂ©prĂ©dicative, la vĂ©ritĂ© c'est l'apparence, vĂ©ritĂ© = rĂ©alitĂ© Le 07 septembre 2021 Ă 124402 n'est pas corrĂ©lĂ© Il y a une vĂ©ritĂ© mais elle est individuelle et pas collective et il y a une vĂ©ritĂ© collective mais pas individuelle sauf qu'un collectif est un individu donc elle "je" est collectif Donc elle vraie pour plusieurs personne mais pas vraie pour tout les individus ou collectif Un fait est vrai ou pas en fait on peut pas savoir et une verite est vraie ou pas vraie peu importe les argument donc la verite est pas vrai pour le collectif universel et temporel ca veut dire que c'est vrai la mais ca peut etre aussi la et pas maintenant donc c'est pas vraiment vraie donc c'est faux parce que c'est un consensus pas vraiment vrai parce qu'on peut pas savoir si il sera percu pareil au meme moment apres et sur le moment c'est inverifiableDonc le vraie vraie existe mais on voit que le vraie faux qui est notre vraie vraie et ducoup qui est le vrai vrai je suis d'accord mais il y aussi le vraie vraie vraie mais on peut pas le voir parce qu'on croit le voir seulement Ducoup la vĂ©ritĂ© existe mais que pour moi maintenant et la et c'est meme pas la vraie veritĂ© c'est la fausse que je vois mais que je trouve vraie Ensuite ya la verite vrai du groupe le consensus qui croit savoir mais qui sait pas forcement et si il sait c'est par hasard et ca permet pas de savoir le consensus apres c'est la verite ou on est d'accord Ensuite ya le vrai consensus mais on peut pas le voir et c'est la vraie verite qui part dans le temps en fait c'est la verite de Dieu qu'on peut pas atteindre la vraie vraie vraie veriteDonc 3 couches de verite et les 3 sont vraie sauf que ca depend le colectif Le 07 septembre 2021 Ă 131302 Oui mais ce n'est pas une notion logico ontologique. En fait c'est mĂȘme pas une notion. La vĂ©ritĂ© est antĂ©prĂ©dicative, la vĂ©ritĂ© c'est l'apparence, vĂ©ritĂ© = rĂ©alitĂ© Bah non ca c'est le consensus a un moment Je suis low arrete les mots avec plein de syllab e site plait Le 07 septembre 2021 Ă 131609 Le 07 septembre 2021 Ă 131302 Oui mais ce n'est pas une notion logico ontologique. En fait c'est mĂȘme pas une notion. La vĂ©ritĂ© est antĂ©prĂ©dicative, la vĂ©ritĂ© c'est l'apparence, vĂ©ritĂ© = rĂ©alitĂ© Bah non ca c'est le consensus a un moment Au contraire c'est contraire au suis low arrete les mots avec plein de syllab e site plaitMoi aussi je suis low hein les imbeciles ont une capacitĂ© certaine a rendre une chose plus complexe qu'elle ne l'est vraiment Le 07 septembre 2021 Ă 122831 On a tous nos vĂ©ritĂ©s mais la vraie vĂ©ritĂ© elle existe ? Dans les faits oui mais les faits sont des vĂ©ritĂ©s hors on sait que les vĂ©ritĂ©s varient alors les faits ne sont pas vrais Il ya quoi de vraie ducoupLe 07 septembre 2021 Ă 124402 as bien ta rĂ©ponse dans ce topic je cite le grand Toto "Par contre sur "Il existe une vĂ©ritĂ© absolue", j'enlĂšverais le mot "absolu". Je pourrais essayer de soutenir qu'il n'y a pas de "vĂ©ritĂ© absolue" et que quand je dis cela je me rĂ©fĂšre Ă un niveau de "vĂ©ritĂ©" moins fort. En gros, je pourrais essayer de dire que la vĂ©ritĂ© c'est relatif Ă un systĂšme et qu'il n'y a pas un systĂšme absolu."Ce que tu appelles la "vraie vĂ©ritĂ©" est la vĂ©ritĂ© absolue. Elle existe mais n'est pas rationnelle. Il ne convient donc pas de juger les vĂ©ritĂ©s scientifiques ou les "faits" depuis son point de vue, et donc de les juger "faux", sous prĂ©texte qu'ils ne serait pas la VĂ©ritĂ© absolue ou vraie. Sinon, tout ce qui n'est pas cette VĂ©ritĂ© absolue serait faux. Toute la science tomberait. La VĂ©ritĂ© absolue n'est pas la seule vĂ©ritĂ© vraie. On peut penser l'existence de vĂ©ritĂ©s relatives sans pour autant se contredire, et tomber directement dans le faux. Ce n'est pas parce que les vĂ©ritĂ©s relatives de la sciences varient qu'ils sont faux. Il te faut complexifier ta comprĂ©hension du rapport vrai-faux. Message Ă©ditĂ© le 07 septembre 2021 Ă 132613 par NyjithSenpai Le 07 septembre 2021 Ă 122831 On a tous nos vĂ©ritĂ©s mais la vraie vĂ©ritĂ© elle existe ? Dans les faits oui mais les faits sont des vĂ©ritĂ©s hors on sait que les vĂ©ritĂ©s varient alors les faits ne sont pas vrais Il ya quoi de vraie ducoupj'aurais repondu si c'etait francais et que ca avait du sens , dommage dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier Le 07 septembre 2021 Ă 133452 dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier la verite relative a different niveau Parfois du personnel Parfois du consensus Parfois d'autre chose Le 07 septembre 2021 Ă 134555 Le 07 septembre 2021 Ă 133452 dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier la verite relative a different niveau Parfois du personnel Parfois du consensus Parfois d'autre choseIl n'y a pas de vĂ©ritĂ© relative, il existe seulement la vĂ©ritĂ© absolue. Et le pyrrhonien l'a possĂšde Le 07 septembre 2021 Ă 132403 Le 07 septembre 2021 Ă 122831 On a tous nos vĂ©ritĂ©s mais la vraie vĂ©ritĂ© elle existe ? Dans les faits oui mais les faits sont des vĂ©ritĂ©s hors on sait que les vĂ©ritĂ©s varient alors les faits ne sont pas vrais Il ya quoi de vraie ducoupLe 07 septembre 2021 Ă 124402 as bien ta rĂ©ponse dans ce topic je cite le grand Toto "Par contre sur "Il existe une vĂ©ritĂ© absolue", j'enlĂšverais le mot "absolu". Je pourrais essayer de soutenir qu'il n'y a pas de "vĂ©ritĂ© absolue" et que quand je dis cela je me rĂ©fĂšre Ă un niveau de "vĂ©ritĂ©" moins fort. En gros, je pourrais essayer de dire que la vĂ©ritĂ© c'est relatif Ă un systĂšme et qu'il n'y a pas un systĂšme absolu."Ce que tu appelles la "vraie vĂ©ritĂ©" est la vĂ©ritĂ© absolue. Elle existe mais n'est pas rationnelle. Il ne convient donc pas de juger les vĂ©ritĂ©s scientifiques ou les "faits" depuis son point de vue, et donc de les juger "faux", sous prĂ©texte qu'ils ne serait pas la VĂ©ritĂ© absolue ou vraie. Sinon, tout ce qui n'est pas cette VĂ©ritĂ© absolue serait faux. Toute la science tomberait. La VĂ©ritĂ© absolue n'est pas la seule vĂ©ritĂ© vraie. On peut penser l'existence de vĂ©ritĂ©s relatives sans pour autant se contredire, et tomber directement dans le faux. Ce n'est pas parce que les vĂ©ritĂ©s relatives de la sciences varient qu'ils sont faux. Il te faut complexifier ta comprĂ©hension du rapport c'est ce que j'ai dis ca depend le niveau Y'a des fausses vraie verite Des verites Et des vrai verite mais ca je peux pas trouverLe 07 septembre 2021 Ă 131758 Le 07 septembre 2021 Ă 131609 Le 07 septembre 2021 Ă 131302 Oui mais ce n'est pas une notion logico ontologique. En fait c'est mĂȘme pas une notion. La vĂ©ritĂ© est antĂ©prĂ©dicative, la vĂ©ritĂ© c'est l'apparence, vĂ©ritĂ© = rĂ©alitĂ© Bah non ca c'est le consensus a un moment Au contraire c'est contraire au suis low arrete les mots avec plein de syllab e site plaitMoi aussi je suis low hein La verite c'est l'apprence donc la verite est un consensus Le 07 septembre 2021 Ă 132358 les imbeciles ont une capacitĂ© certaine a rendre une chose plus complexe qu'elle ne l'est vraiment Le 07 septembre 2021 Ă 134555 Le 07 septembre 2021 Ă 133452 dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier la verite relative a different niveau Parfois du personnel Parfois du consensus Parfois d'autre chosey a pas des niveaux plus hauts que d'autres ? Le 07 septembre 2021 Ă 134738 Le 07 septembre 2021 Ă 134555 Le 07 septembre 2021 Ă 133452 dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier la verite relative a different niveau Parfois du personnel Parfois du consensus Parfois d'autre choseIl n'y a pas de vĂ©ritĂ© relative, il existe seulement la vĂ©ritĂ© absolue. Et le pyrrhonien l'a possĂšde Bah si vu su'on peut se tromper Ou mal voir Ou mal entendre En plus ce que tu dis c'est ta verite mais c'est pas forcement vrai donc ya une vraie verite qui dit que c'est vrai ou pas mais on comprend pas ducoup on peut pas vraiment savoir Et Ca veut dire quoi pyronien La vĂ©ritĂ© ça existe dans une certaine interprĂ©tation/modĂšle, en tout cas telle qu'on la conçoit. Le 07 septembre 2021 Ă 135033 Le 07 septembre 2021 Ă 134555 Le 07 septembre 2021 Ă 133452 dĂ©monstration rapide de l'existence d'une vĂ©ritĂ© absolue et au passage destruction du scepticisme D'abord, mĂȘme si personne ne prĂ©tend ĂȘtre dans la vĂ©ritĂ© absolue au sens fort, il faut comprendre qu'espĂ©rer connaĂźtre la moindre vĂ©ritĂ© relative est absurde si l'on n'envisage pas l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue. Ce, pour une raison de simple logique la vĂ©ritĂ© relative est relative...Ă quoi ? Toute vĂ©ritĂ© relative est relative... Ă la vĂ©ritĂ© absolue. Remettre en question l'existence de la vĂ©ritĂ© absolue, c'est retomber brutalement dans le nĂ©ant du scepticisme absolu, dans lequel toute pensĂ©e est vaine. Mais c'est de toute façon impossible car affirmer qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ©, c'est encore une prĂ©tention Ă une parole de vĂ©ritĂ©..le document entier la verite relative a different niveau Parfois du personnel Parfois du consensus Parfois d'autre chosey a pas des niveaux plus hauts que d'autres ?Pas vraiment meme si je suis tentĂ© de dire que le consensus science est plus pres de la vraie verite mais je pense pas que c'est ca parce que c'est juste un organisme un peu compliquĂ© la science comme un humain sauf que un humain a plus de biais mais la science aussi donc bon c'est pareil mais en science ils ont 140 de qi et se croient intelligent parce quil disent plein de mot avec plein de syllabes enfaite ils sont aussi con mais ils font semblant d'etre intelligent en utilisant des procede de merde qu'ils ont inventĂ©s Le 07 septembre 2021 Ă 122831 On a tous nos vĂ©ritĂ©s mais la vraie vĂ©ritĂ© elle existe ? Dans les faits oui mais les faits sont des vĂ©ritĂ©s hors on sait que les vĂ©ritĂ©s varient alors les faits ne sont pas vrais Il ya quoi de vraie ducoupCe qui est vrai dans un modĂšle/interprĂ©tation, c'est Ă dire d'un systĂšme Ă un autre systĂšme. La verite c'est l'apprence donc la verite est un consensusHein ? Bah si vu su'on peut se tromper Ou mal voir Ou mal entendre En plus ce que tu dis c'est ta verite mais c'est pas forcement vrai donc ya une vraie verite qui dit que c'est vrai ou pas mais on comprend pas ducoup on peut pas vraiment savoir Et Ca veut dire quoi pyronienL'apparence est phĂ©nomĂ©nologique. Elle est pure et directe. Autrement dit, rien ne peut faire obstacle entre elle et moi. Donc rien ne peut me biaiser. Et ce n'est pas "ma" vĂ©ritĂ© car je n'existe pas, il n'y a pas d' pyrrhonien est celui qui adhĂšre au pyrrhonisme, donc c'est celui qui n'adhĂšre Ă rien mais qui ne fait que constater la VĂ©ritĂ© Le 07 septembre 2021 Ă 131302 Oui mais ce n'est pas une notion logico ontologique. En fait c'est mĂȘme pas une notion. La vĂ©ritĂ© est antĂ©prĂ©dicative, la vĂ©ritĂ© c'est l'apparence, vĂ©ritĂ© = rĂ©alitĂ© Je parie que si on te demande ce qu'est l'antĂ©prĂ©dicatif, tu bĂ©gayes. Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
9 Citations sur la vĂ©ritĂ© et la libertĂ© : La vĂ©ritĂ© libĂšre alors que le secret dirige notre vie. ~ John Bradshaw. La vĂ©ritĂ© te rendra libre, mais dâabord, elle te foutra en rogne. ~ Anonyme. Savoir se contredire est un exercice
Peut-on soutenir que la vĂ©ritĂ© change avec le temps ? Saint Thomas dĂ©finit la vĂ©ritĂ© comme Ă©tant une adĂ©quation de la chose et de l'esprit ». On a coutume de dire que la vĂ©ritĂ© concerne l'ordre du discours, elle consiste en fait en l'adĂ©quation entre celui-ci et le rĂ©el. La vĂ©ritĂ© est l'expresion par la parole de ce qui est dans le sens de l'ĂȘtre humain. Pour s'accorder avec la morale, on dĂ©fend la vĂ©racitĂ© comme la vertu de celui qui dit la vĂ©ritĂ©, donc, celui-ci mĂȘme qui ne ment pas dans l'absolu. Le menteur, dont la seule entreprise est de tromper, dit intentionnellement le faux. Or la vĂ©ritĂ© Ă©tant une base des fondements humains, et en considĂ©rant la vertu de vĂ©racitĂ©, on ne peut donc pas se baser sur un mensonge et a forciori sur le menteur. Chaque ayant pour dessein la connaissance pourrait considĂ©rer la vĂ©ritĂ© comme un IdĂ©al et parfois une chymĂšre. D'ailleurs toutes les sciences, dans leur domaines respectifs et exclusifs, recherchent la vĂ©ritĂ©. De plus la vĂ©ritĂ© Ă©tant l'instigatrice d'une vertu elle est donc une valeur et ne peut pas appartenir aux choses. On pourrait aussi supposer qu'il existe plusieurs vĂ©ritĂ©s Ă©tant donnĂ© qu'il existe plusieurs domaines d'existence de la rĂ©flexion. Le fait que la vĂ©ritĂ© change avec le temps peut nous entrainer vers une rĂ©flexion sur le rĂ©el sujet du temps. Tout change tout le temps et toujours, pourrait-on naĂŻvement avancer. Dans un monde soumis au lois d'une relativitĂ© certaine, le changement et le fardeau de toute chose, il l'emporte de la naissance, l'accompagne Ă la croissance puis observe sa mort. Pourquoi en demeurerait-il autrement au sujet de la vĂ©ritĂ© ? L 'une des caractĂ©ristiques phares de la nature est le fait que rien ne puisse subsister sans changement. Enfin, pour trouver une vĂ©ritĂ©, encore faudrait-il trouver quelqu'un qui connaisse la vĂ©ritĂ©. Ne pourrait-on pas supposer que la vĂ©ritĂ© seule et unique n'existe pas ? Le simple fait de dire Avant, je croyais que ... » nous prouve que la vĂ©ritĂ© ne persiste pas en son Ă©tat. Et la simple tournure intĂ©rrogative Qui a raison ? » nous montre bien que l'assurance de l'existence de la vĂ©ritĂ© est un mensonge en soi. Ainsi, comment concilier la relativitĂ© et les faits nouveaux dans le temps avec la recherche de la vĂ©ritĂ© ? Sommes nous uniquement soumis Ă des vĂ©ritĂ©s provisoires ? Ou bien devrait-on Ă©tablir une distinction entre une vĂ©ritĂ© absolue et les vĂ©ritĂ©s provisoires ? Le monde est en perpĂ©tuelle Ă©volution. Il ne cesse de se transformer et soumet les choses dans ses transformations. Ainsi si l'on affirme Il pleut » alors qu'il pleut effectivement. L'affirmation ennoncĂ©e est donc une vĂ©ritĂ© car il s'agit d'une interprĂ©tation de la raison d'une vision extĂ©rieure que l'on traduit par le langage. Cependant dĂšs lors qu'il ne pleut plus, l'affirmation prĂ©cĂ©dente ne tient plus elle perd son statut de vĂ©ritĂ©, et si elle est retransmise dans le prĂ©sent elle devient un mensonge donc n'existe pas. Ainsi le fait que la vĂ©ritĂ© soit en quelque sorte Ă©phĂ©mĂšre ne dĂ©cribiliserait-il pas cette notion en elle mĂȘme ? Cette perte de confiance » en la vĂ©ritĂ© a d'ailleurs entrainĂ© trĂšs rapidement un comportement de retrait vis Ă vis de la vĂ©ritĂ© de la part des Hommes. Ce sentiment de retrait entraĂźne la notion de septicisme. Le septicisme est le fait de douter du fait que l'Homme puisse un jour accĂ©der Ă la vĂ©ritĂ©. Le sceptique en arrive mĂȘme Ă remettre en question l'existence d'une vĂ©ritĂ© stable, seule vĂ©ritĂ© qui pourrait Ă toutes fins mettre en accord les esprits humains. En avançant le fait que d'une rĂ©gion du monde Ă l'autre les façons de penser et de raisonner changent, il est vrai qu'il ait compliquĂ© de trouver un accord sur une vĂ©ritĂ© unique et universelle. L'autre aspect du problĂšme serait de trouver une vĂ©ritĂ© durable qui pourrait se perpĂ©tuer au travers des Ăąges et crĂ©er la cohĂ©sion des hommes. En effet, envisager que l'on se base tous les jours et Ă chaque instants sur quelquechose d'Ă©phĂ©mĂšre et quelque peu effrayant. Imaginons simplement que l'ont eu finit par adopter, il y a bien des siĂšcles, que la Terre Ă©tait plate et qu'elle flottait dans le vide ; Aurait-on pu aujourd'hui Ă©tablir les thĂ©ories de physiques dont on pense qu'elles gouvernent le monde et l'espace de notre temps ? Certainement pas. On ne serait donc pas condamner Ă vivre avec des vĂ©ritĂ©s provisoires et totalemnt inutiles dĂšs leur temps contemporain Ă©coulĂ©. Disons alors que la vĂ©ritĂ© mĂȘme durable n'est que spĂ©cifique et qu'elle ne voit le jour que par un consensus d'expĂ©riences scientifiques. L'idĂ©e pourrait ĂȘtre que la vĂ©ritĂ© n'existe que par rapport aux Hommes et uniquement pour les Hommes. On pourrait presque penser au relativisme, ce qui laisserait croire que les croyances, les vĂ©ritĂ©s spĂ©cifiques et les vision humaines de la vĂ©ritĂ© n'ont en rĂ©alitĂ© aucune rĂ©fĂ©rences. L'Homme est la mesure de toute chose » disait Protagoras, donc la vĂ©ritĂ© serait modulable uniquement en fonction de l'esprit des Hommes et donc une vĂ©ritĂ© au delĂ de l'esprit humain ne serait donc pas envisageable. Il est inĂ©vitable qu'une distinction s'impose entre les vĂ©ritĂ©s absolues et provisoires. Les vĂ©ritĂ©s absolues sont dĂ©montrĂ©es par les lois scientifiques qui rĂ©gissent notre temps. Elles sont malĂ©ables autant que les lois scientifiques le sont. Cependant les vĂ©ritĂ©s provisoires, elles, ne sont vĂ©rifiables que par une simple constatation de faits et une analyse commune de la raison de chaque individu. Il se pourrait qu'il y ait autant de vĂ©ritĂ©s provisoires que d'uindividu sur la planĂšte. De plus la distinction entre ces deux vĂ©ritĂ©s peut se faire par leur durĂ©e. Une vĂ©ritĂ© absolue aura toujours sa part de vrai quand une vĂ©ritĂ© provisoire pourra s'Ă©teindre complĂštement. Ceci vient du fait que k'une est dĂ©montrĂ©e et donc formelle, quand l'autre ne l'est pas. On peut donc, sans crainte, constater que les vĂ©ritĂ©s ne sont pas immuables. Elles ont leurs limites dans l'espace temps. Ce constat ne porte toutefois pas prĂ©judices Ă leur nature soit Ă leur vĂ©racitĂ©. Dans l'expension du sens de vĂ©ritĂ©, on pourrait en Ă©tablir qui ne change pas, ce sont les croyances. Cependant, n'Ă©tant qu'une interprĂ©tation idĂ©ologique et non concrĂšte d'une rĂ©alitĂ© elle aussi abstraite, il est difficile de les Ă©tablirs en tant que rĂ©elles vĂ©ritĂ©s. Certaines vĂ©ritĂ©s sont relatives et ne sont donc pas absolues, d'autres le sont. Tout simplement car l'absolu est » et la vĂ©ritĂ© relative, elle, devient ». Il est donc difficile de soutenir le fait que la vĂ©ritĂ© relative ne change pas avec le temps. Seul la vĂ©ritĂ© de l'Ătre en son essence mĂȘme pourrait ne pas changer.
Direla vĂ©ritĂ© Ă lâun et la refuser Ă dâautres est la porte ouverte Ă une absence totale de vĂ©ritĂ© dans nos Ă©changes. Dâautre part, la vĂ©ritĂ© nâest ni bonne, ni mauvaise en elle-mĂȘme. Câest ce quâon en fait et notre maniĂšre de la recevoir qui peuvent lâĂȘtre. Au-delĂ de ces considĂ©rations quotidiennes, dire la
Livres Les nations et les hommes ont besoin de mythes et de mensonges pour se construire. Ce qui ne veut pas dire que les livres soient des mensonges mĂȘme si, par dĂ©finition, une fiction est toujours un mensonge. Câest un mensonge qui touche Ă la vĂ©ritĂ©. Paul Auster in La solitude du labyrinthe 1997. En dĂ©pit du bon sens, certains lecteurs attendent encore du roman une rĂ©vĂ©lation, pour ne pas dire une vĂ©ritĂ© qui doit sâentendre ici comme un principe certain qui met le doute en Ă©chec, tandis que dâautres, comme Paul Auster, portant pourtant un regard trĂšs professionnel sur la littĂ©rature dâimagination, continuent Ă lâassocier Ă des contre-vĂ©ritĂ©s. La fiction ne serait-elle pas plutĂŽt un espace hermĂ©tique Ă la vĂ©ritĂ© et au mensonge ? Sâil existe bel et bien en anglais comme en français un lien de parentĂ© lexicale entre mensonge et littĂ©rature, deux mots qui se recoupent dans le vocable de fiction »[i], les Ă©crits ne peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă des menteries dans le genre romanesque, du moins sur un plan philosophique. Le bon sens voudrait que lâon se range Ă lâopinion de Peter McCormick lorsquâil dĂ©clare que lâart du conte, Ă lâinverse du mensonge, se rĂ©sume Ă faire semblant sans chercher Ă tromper, Ă©tant plus proche de la comĂ©die que du faux serment ».[ii] Et ce professeur de philosophie dâajouter LâĂ©crivain de fiction [âŠ] simule la rĂ©fĂ©rence parce que la nature des phrases fictionnelles est telle quâil ne peut faire rĂ©fĂ©rence Ă quoi que ce soit. LâĂ©crivain qui sâexprime dans un rĂ©cit documentaire entend bien faire rĂ©fĂ©rence Ă quelque chose ; par contraste, lâĂ©crivain de fiction ne fait que simuler cette fonction rĂ©fĂ©rentielle ».[iii] Dans son explication, en faisant la distinction entre les catĂ©gories documentaire et fiction, McCormick sous-entend que la notion de vĂ©ritĂ© qui doit sâentendre ici comme le caractĂšre de ce qui sâaccorde avec le sentiment de la rĂ©alitĂ© », in Le nouveau petit Robert est plus pertinente lorsquâon traite dâun ouvrage documentaire que dâun rĂ©cit de fiction. Sans entrer dans des considĂ©rations linguistiques, Maurice Blanchot fait un constat similaire Ă celui de McCormick, mais sur une tonalitĂ© plus poĂ©tique, et soutient que lâartiste nâappartient pas Ă la vĂ©ritĂ©, parce que lâĆuvre est elle-mĂȘme ce qui Ă©chappe au mouvement du vrai, que toujours, par quelque cotĂ©, elle le rĂ©voque, se dĂ©robe Ă la signification, dĂ©signant cette rĂ©gion oĂč rien ne demeure, oĂč ce qui a eu lieu nâa cependant pas eu lieu, oĂč ce qui recommence nâa encore jamais commencĂ©, lieu de lâindĂ©cision la plus dangereuse, de la confusion dâoĂč rien ne surgit [âŠ]».[iv] Cette insistance sur la notion de vĂ©ritĂ© qui Ă©chappe Ă lâespace littĂ©raire a Ă©tĂ© reprise par bien des thĂ©oriciens de la littĂ©rature dont Tzvetan Todorov pour qui les phrases qui composent le texte littĂ©raire ne sont pas plus fausses » quâelles ne sont vraies ». [âŠ] le texte littĂ©raire ne se soumet pas Ă lâĂ©preuve de vĂ©ritĂ©, [âŠ] il nâest ni vrai ni faux, mais, prĂ©cisĂ©ment fictionnel ».[v] Le texte littĂ©raire est donc Ă inscrire au chapitre de la fiction qui est le mode dâĂȘtre du non-vrai ou du non-rĂ©el â par opposition au faux, au factice, Ă la contrefaçon et Ă la contrevĂ©ritĂ© qui sont antinomiques Ă lâauthenticitĂ©, Ă la vĂ©ritĂ©. Par consĂ©quent, le lecteur nâa pas plus pour mission de chercher des vĂ©ritĂ©s dans le texte littĂ©raire que le romancier nâa de les enseigner. Parce quâelle nâest pas rĂ©alitĂ©, lâĆuvre littĂ©raire peut Ă loisir explorer le champ des possibilitĂ©s que le monde des vivants ne permet pas. LâĆuvre littĂ©raire nous propose un monde de possibles â et on rejoint ici la potentialitĂ© explorĂ©e par les oulipiens ! â mais elle ne saurait en aucun cas ĂȘtre un monde possible. Elle Ă©chappe au mouvement du vrai prĂ©cisĂ©ment parce que le romancier fait Ćuvre dâimagination lorsquâil affabule ses intrigues, une activitĂ© qui le conduit Ă fabuler. Principe de VĂ©ritĂ© et principe de Confiance Pour Blanchot, Le roman est une Ćuvre de mauvaise foi », Ă double titre dira-t-on et de la part de celui qui Ă©crit, et de la part de celui qui lit, qui se tiennent tous les deux dans lâespace ambigu de lâimaginaire ».[vi] Câest peu ou prou ce que rĂ©sume Umberto Eco en Ă©voquant les recherches de John Searle[vii] qui elles font Ă©chos aux propos de Blanchot un discours qui perdure depuis plus dâun siĂšcle si lâon remonte jusquâĂ Coleridge et sa suspension volontaire dâincrĂ©dulitĂ© ! Au bout du compte, ce que rĂ©vĂšle cette relation contractuelle bilatĂ©rale que les thĂ©oriciens appellent pacte fictionnel » dans laquelle lâĂ©crivain donne le change et le lecteur accepte la duperie de plein grĂ©, câest la distinction fondamentale entre le monde rĂ©el » et les mondes narratifs », le premier Ă©tant gouvernĂ© par le principe de VĂ©ritĂ© Truth » tandis que les seconds sont rĂ©gis par le principe de Confiance Trust ».[viii] Dans un autre livre, SĂ©miotique et philosophie du langage 1988, Umberto Eco remarque que la mĂ©taphore ne dit jamais la vĂ©ritĂ© puisquâelle transgresse lâordre de la rĂ©alitĂ© et procĂšde Ă une remise en ordre poĂ©tique du monde. Sur un mode analogique, on pourrait sâautoriser un parallĂšle avec le roman, qui comme la mĂ©taphore, produit une image rĂ©sultant dâune construction verbale. Ce que dit Eco dans SĂ©miotique et philosophie du langage est donc, mutatis mutandis, applicable au statut de la fiction le roman ne dit jamais la vĂ©ritĂ© puisquâil transgresse lâordre de la rĂ©alitĂ© et procĂšde Ă une remise en ordre poĂ©tique du monde. De lâaveu gĂ©nĂ©ral, faire des entorses Ă la vĂ©ritĂ© est contraire Ă la dĂ©ontologie dâun historien et qui Ă©tudiera le roman historique se rendra compte des rivalitĂ©s et des Ăąpres disputes qui font de la littĂ©rature et du rĂ©cit historique deux exercices de style qui ont chacun leurs spĂ©cificitĂ©s. Il serait donc judicieux de mener une Ă©tude dâenvergure sur le roman historique et la quĂȘte de vĂ©ritĂ©, en examinant les polĂ©miques qui ont agitĂ© historiens et romanciers. Dans un mĂȘme esprit, on gagnerait Ă analyser un certain nombre de litiges identitaires et de supercheries littĂ©raires afin de savoir si lâon doit tenir les auteurs responsables de leurs entorses qui entravent une prĂ©tendue quĂȘte de vĂ©ritĂ© » ou si les lecteurs se rendent coupables dâun procĂšs dâintention en soutenant implicitement lâexistence dâune dimension alĂ©thique »[ix] dans lâespace de la fiction. Dâautres questions en dĂ©couleront ces indĂ©licatesses portent-elles Ă consĂ©quence dans lâespace de la fiction ou nâentament-elles que lâĂ©thique de lâĂ©crivain ? Et la plus importante des interrogations dans quelle mesure ces supercheries parviennent-elles Ă nous renseigner sur le statut de la fiction ? A la lumiĂšre de ces rĂ©flexions, on sâaperçoit quâil y a quelque incongruitĂ© pour le lecteur ou le romancier Ă vouloir se lancer dans une quĂȘte de vĂ©ritĂ© au sein dâun espace qui ne le permet pas. DâoĂč ce fait bien commode quâen littĂ©rature nul romancier ne puisse ĂȘtre coupable dâignorance. Pour reprendre lâheureuse formulation de Christine Angot dans Une partie du cĆur 2004 Le mot chaise nâavait plus quatre pieds, il nâen avait plus quâun en littĂ©rature. Ceux qui lui donnaient quatre pieds câĂ©tait leur affaire, lâĂ©crivain nâen Ă©tait pas responsable. CâĂ©tait bien pourquoi la responsabilitĂ© de lâĂ©crivain nâexistait pas. Et la culpabilitĂ© encore moins ». Notice biographique Essayiste bilingue, auteur de fiction et chercheur en littĂ©rature, Jean-François Vernay a signĂ© plusieurs rĂ©flexions littĂ©raires, toutes disponibles en langue anglaise. La sĂ©duction de la fiction qui vient de paraĂźtre aux Ă©ditions Hermann est son quatriĂšme essai par lequel il apporte sa contribution au champ des Ă©tudes littĂ©raires cognitives. [i] Terme qui dans son acception dĂ©suĂšte dĂ©note un mensonge » et qui dans le langage contemporain dĂ©signe une crĂ©ation de lâimagination, en littĂ©rature », similitude que lâon retrouve en anglais avec le dĂ©nombrable fictions » et lâindĂ©nombrable fiction». [ii] McCormick, Fictions and Feelings », Fictions, Philosophies and the Problems of Poetics Ithaca/London Cornell UP, 1988, 138. [iii] McCormick, Id. [iv] M. Blanchot, Lâespace littĂ©raire Paris Gallimard, 1955, 318. [v] T. Todorov, La Notion de littĂ©rature Paris Le Seuil, 1987, 13. [vi] M. Blanchot, La Part du feu Paris Gallimard, 1949, 189 citĂ© in D. Hurezanu, Ibid., 53. [vii] Le lecteur doit savoir quâun rĂ©cit est une histoire imaginaire, sans penser pour autant que lâauteur dit des mensonges. Simplement, comme lâa dit Searle, lâauteur feint de faire une affirmation vraie. Nous acceptons le pacte fictionnel et nous feignons de penser que ce quâil nous raconte est rĂ©ellement arrivé». J. Searle, The Logical Status of Fictional Discourse » New Literary History 14 1975, citĂ© in U. Eco, 1996, 81. [viii] U. Eco, Six promenades dans les bois du roman et dâailleurs Paris Grasset & Fasquelle, 1996, 95-6. [ix] Dans lâacception que lui donne Roland Barthes dans Quâest-ce que la critique ? » 1963, Ă savoir qui relĂšve de la vĂ©ritĂ© ». Jean-François Vernay Imprimer cet article Commentaires
II Il nâest pas possible de vraiment ne pas vouloir la vĂ©ritĂ© (sachant que vouloir â dĂ©sirer) Argument n°1: la connaissance de la vĂ©ritĂ© peut faire quâon souffre moins dans lâexistence. Etape 1 : ( reprise prĂ©misse n°1) Si les hommes tendent naturellement vers ce qui leur procure du plaisir et fuient le dĂ©plaisir.
Platon dans La RĂ©publique nous apporte, avec lâallĂ©gorie de la caverne, une rĂ©ponse Ă la question Ă savoir si refuser la vĂ©ritĂ© nâĂ©tait pas se simplifier la vie. Ainsi, Ă travers lâexemple des Hommes enchaĂźnĂ©s au fond de la caverne qui tournent le dos Ă la vĂ©ritĂ©, symbolisĂ©e par la lumiĂšre, ces derniers pour une majoritĂ© une fois sorti de lâombre prĂ©fĂ©reront
Sien revanche notre discours veut se rĂ©gler sur le rĂ©el en soi, non pas sur la rĂ©alitĂ© telle qu'elle nous apparaĂźt mais telle qu'elle existe en elle-mĂȘme, telle que pourrait la connaĂźtre une intelligence divine par exemple, nous visons alors une vĂ©ritĂ© mĂ©taphysique qui dĂ©passe toute possibilitĂ© de vĂ©rification dans le champ de l'expĂ©rience humaine.
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Eneffet, les penseurs pyrrhoniens soutiennent lâidĂ©e que la vĂ©ritĂ© nâexiste pas, que si toutefois elle existe, elle est inconnaissable et que si par hasard, elle est connaissable elle est incommunicable. Face Ă ceux qui prĂŽnent la recherche de la vĂ©ritĂ©, les sceptiques voient lĂ une quĂȘte stĂ©rile oĂč il y a davantage de problĂšmes que de solutions.
laplupart des pays dans le monde : câest prohibĂ©. Chacun, a donc le droit dâavoir sa culture, de disposer de sa vĂ©ritĂ© culturelle et de lâexprimer ainsi que de la pratiquer librement. Soutenir « Ă chacun sa vĂ©ritĂ© » est donc un acte permis par la loi, quelques sot sa culture, sa religion, son partie politique ou sa valeur morale,
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peut on soutenir que la verité n existe pas